La reine des fourmis
Datte: 09/07/2021,
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... reluquaient ma poitrine. Il n’a pas apprécié mais il ne pouvait plus revenir en arrière. Moi, ça m’embarrassait énormément et ça me flattait un peu. Je ne m’attendais pas à ce que mes seins attirent autant l’attention sur une plage où tout le monde est presque à poil !— Il y a sûrement une raison… Il connaît la réponse. Elle a un sourire entendu et prend la balle au vol. — À vrai dire, peu de femmes ont une vraiment belle poitrine. Surtout quand tu les observes à la lumière crue du soleil, sans rien qui puisse les mettre en valeur. Parfois plats, ou dégonflés… quand ils ne tombent pas en goutte d’huile !— Alors que les tiens…— Les miens se tiennent bien et sont bien remplis ! Elle a un petit rire d’adolescente effrontée et l’espace d’une seconde enveloppe sa poitrine des deux mains. Elle retrouve son assurance. Il se doute que ce ne sont pas seulement ses seins qui ont troublé les regards. Quand il est sur une plage, il s’emmerde ferme et n’a rien d’autre à faire qu’à mater discrètement les femmes alanguies sur leurs serviettes de bain, qu’elles bouquinent ou fassent semblant de bouquiner, qu’elles fassent la sieste ou qu’elles fassent semblant de dormir, qu’elle soient allongées sur le dos, sur le ventre, ou en chien de fusil. Une évidence lui saute aux yeux à chaque fois. Certaines d’entre elles, avec leurs lunettes de soleil qui rendent leurs regards impénétrables, les cheveux tirés en queue de cheval ou pourvus d’un couvre-chef, la peau encore claire et satinée de crème ...
... solaire, dégagent une sensualité évidente qu’un rien accentue : une moue indéfinissable aux lèvres, le galbe parfait d’une hanche, la courbe onctueuse des fesses, la pointe d’un sein, la cambrure du dos, la grâce hiératique du cou, la délicatesse des épaules, la finesse de la main qui effeuille les pages… Ces anonymes splendides et faussement ordinaires, qui affectent une posture sage et vaguement ennuyée, savent l’effet qu’elles déclenchent chez nombre d’hommes : un désir charnel immédiat et inaccessible. Alice fait partie de celles-là. — Maintenant, imagine que tu es à la plage. Elle acquiesce d’un léger hochement de tête et déboutonne lentement son chemisier, le suspend au dossier de son fauteuil. Elle a un soutien-gorge en dentelle noire, très échancré et quasiment transparent, tendu sur sa chair bombée. Pas mal pour une vieille copine qui venait lui rendre visite par hasard… Elle fait glisser les bretelles sur ses épaules menues et joliment rondes, ses mains se rejoignent dans son dos, dégrafent la sangle. Instant magique que ce prélude au dénuement. Elle prend son temps, puis débarrasse sa poitrine du carcan. Et c’est bombance. Surgissent deux seins splendides, plantureux, bien dressés, superbement arrogants, ni pommes ni poires mais les deux à la fois, d’un galbe parfait, ornés de mamelons larges et de tétons épais. Il voudrait la téter tandis qu’elle guette sa réaction. Il se gratte la tête. — Si j’étais allongé sur le ventre, il faudrait que je fasse un trou dans le ...