1. La reine des fourmis


    Datte: 09/07/2021, Catégories: fh, fhhh, couleurs, extracon, inconnu, copains, groscul, magasin, caférestau, boitenuit, anniversai, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, strip, Oral légumes, pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, init, portrait, initiatiq, initfh, bourge,

    ... à la gloire de la femme callipyge. Et le balancement fabuleux de ses hanches à chaque marche lui fait mal à la bite tant il bande. Il a une envie irrésistible de lui bouffer le cul ! Elle se cabre à nouveau, essaie de lui échapper mais il la tient fermement, l’obligeant à rester immobile, un pied sur chaque marche. — Oh non, pas ça…— Tu sais bien que si ! répond-il en glissant un doigt dans sa fente mouillée. Alors elle abdique et se laisse faire, les bras croisés sur une marche, les fesses écartées, honteuse de lui livrer si vite la partie la plus secrète de son anatomie et terriblement excitée de pouvoir s’abandonner ainsi. Il lui lèche abondamment la rondelle, y introduit la pointe de sa langue. Il aime sa chaleur, son odeur de tourbe. De son côté elle ressent une sensation curieuse et exquise, qui augure des découvertes plus approfondies. — Tu n’as jamais essayé ? lui demande-t-il.— Tu veux dire, si je…— Oui.— Alors non, avoue-t-elle. Et pourtant elle n’a pas le réflexe de serrer son petit trou. Bientôt elle jettera cette virginité-là par-dessus les moulins. Il lui remet le doigt dans le con et c’est ainsi qu’il poursuivent l’ascension. Être dirigée par ce doigt planté dans le vagin, comme s’il la soulevait, lui procure un sentiment de jouissance inédite à mesure qu’elle grimpe les marches. Elle se dit qu’elle acceptera d’être soumise au bon vouloir de quiconque dès lors qu’elle y trouvera elle-même la seule chose qui compte désormais : le plaisir brut. Arrivés au ...
    ... sommet de l’escalier, elle aperçoit une petite pièce qui fait office de jardin d’hiver, fermée par une baie vitrée qui donne sur une grande terrasse. Il la pousse. Elle avance à tous petits pas, soudainement rétive. De l’autre côté de la baie, à vingt-cinq mètres environ, se dresse une bâtisse qui ressemble à un entrepôt. Une seule fenêtre est éclairée au dernier étage, un peu au-dessus d’eux. Il ouvre la baie vitrée, un petit vent tiède s’engouffre dans la pièce. Elle croise les bras sur sa poitrine et frissonne. D’un froncement de sourcils, elle lui dit qu’elle ne va tout de même pas aller sur la terrasse comme ça, complètement à poil ! En plus, c’est la pleine lune, on y voit presque comme de jour, et rien, pas la moindre plante, ne protège des regards. Et puis elle comprend. Tout à l’heure, il a remis son pantalon mais ne lui a pas proposé de se couvrir. Ce salaud veut qu’elle s’exhibe sur la terrasse, elle seule. Elle se sent tout d’un coup piégée, livrée à elle-même et hoche la tête en signe de dénégation. Mais elle sait qu’elle n’a pas le choix et qu’elle doit franchir le pas. Jusqu’à présent, rien ne s’est déroulé qu’entre eux deux, dans la plus stricte intimité. L’examen a été passé avec succès, mais elle est consciente que ses envies de luxure ne sauront se contenter de leur duo et qu’elle doit s’ouvrir sur l’extérieur. C’est la condition sine qua non pour qu’il l’accompagne, où qu’elle aille. Il attend. Elle avance alors sur la terrasse à pas menus, les bras toujours ...
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