1. La reine des fourmis


    Datte: 09/07/2021, Catégories: fh, fhhh, couleurs, extracon, inconnu, copains, groscul, magasin, caférestau, boitenuit, anniversai, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, strip, Oral légumes, pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, init, portrait, initiatiq, initfh, bourge,

    ... obligée à venir ici. J’ai fait ce que tu m’as demandé. Il caresse rondement son cul, puis introduit un doigt dans sa chatte et le ressort, trempé. — Tu n’aimes pas ça, peut-être ? Elle baisse la tête pendant qu’il montre fièrement son doigt aux compères, puis le réintroduit. Se faire doigter en public lui procure un sentiment de honte mais elle est totalement incapable de résister. Qu’est-ce que c’est rabaissant et qu’est-ce que c’est bon, ce qu’il est en train de lui faire ! Regardez, vous autres, comment elle jute ! Elle les regarde à nouveau. Elle sait qu’elle va leur offrir sa première séance de baise devant des inconnus. Il porte ses doigts à ses lèvres. — Lèche. Ça va encore plus les exciter. Elle lèche, prend goût à sa saveur intime. Il replonge en elle, en extrait à nouveau son jus, lui demande si elle a encore soif. Elle admet dans un souffle que oui et suce à nouveau. Il a sorti sa queue de son pantalon. Elle glisse entre ses fesses. Elle effleure son con. Elle a peur et elle a très envie qu’il la prenne. En face, les deux gus se sont déshabillés à leur tour et se sont assis chacun sur une table. Eux aussi veulent qu’elle les voit. Et ce qu’elle voit, ce sont deux beaux blacks avec des engins terribles dressés entre leurs jambes écartées. Deux queues d’ébène luisantes et tendues dont les dimensions prouvent que leur réputation n’est pas usurpée. La crudité de la scène ajoute à son excitation, et s’il n’y avait pas cette rue qui les sépare, elle les branlerait sans ...
    ... façon, elle en est sûre. En attendant, c’est la queue de son initiateur qui la convoite. Du gland, il tapote entre ses deux fesses puis le place à l’entrée de son con, comme s’il hésitait. Et soudain, à la manière des flics qui procèdent à une fouille sur le capot d’une bagnole, il lui écarte les jambes d’un croche-pied latéral et la pousse en appuyant sur ses omoplates. Elle se retrouve pliée en deux, le cul à hauteur des épaules, la tête penchée en avant, agrippant la rampe pour ne pas basculer. Elle n’a pas le temps de digérer cette entrée en matière qu’il lui enfonce d’une seule traite sa pine dans le con. Elle se cabre avec un mélange de surprise et de protestation. Il va la baiser comme une chienne. Elle serre les dents. Elle va subir mais c’est ce qu’elle veut, au fond. Il se met à la bourrer sans ménagement, comme si elle n’était bonne qu’à ça finalement, projetée en avant à chaque assaut. Progressivement, cette bite qui la ramone abondamment, ces mains qui agrippent ses hanches charnues, ces flancs qui battent contre son gros cul qu’elle se plaît à regarder en tournant la tête, transforment sa honte bue en un plaisir indicible. Le plaisir d’être vue en train de se faire tringler, et de quelle façon ! Elle se sent délicieusement femelle salace, à la merci des coups de boutoir et des regards masculins, et elle adore tout simplement ça. Sa jouissance mentale est à la mesure de sa jouissance physique. Tu es une pute, ma chérie, se dit-elle. Et c’est sacrément jouissif de ...
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