1. La gérante de la galerie d'art (4)


    Datte: 10/07/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Suite… (Je rappelle que cette histoire a été écrite à 4 mains, avec Jenna, plume canadienne et magnifique femme mûre…) Que de sentiments et sensations confus et contradictoires. A la fois je veux recommencer cette séance achevée trop tôt et en même temps je ne voudrais jamais refaire cela. Je sens au fond de moi que si la première séance avait continué, j’aurais fini par le provoquer jusqu’à ce qu’il me baise. Cette pensée me fâche et m’excite en même temps. Une femme comme moi n’a pas le droit de penser ainsi. Après tout je suis mariée. Mais en plus du plaisir que j’éprouve à être prise en photo par D. (alors que je n’aime pas ça d’habitude), il y a l’attrait de la compensation financière. Être vue comme une déesse sensuelle et sexy par un homme si charismatique est particulièrement enivrant et rassurant. Son physique, son aisance financière, sa confiance font qu’être une femme attirante et suffisamment excitante pour être prise en photo me libère. Si c’était un homme laid sans le sou qui me disait que je suis belle, cela n’aurait aucun attrait. Il a parlé d’accessoires cependant, et aussi d’être à sa merci. Cela me trouble car ce genre de pratiques m’est étranger et bizarre. J’attends donc son appel avec impatience mais aussi crainte. Il appelle finalement. Il lui a fallu une semaine. Il ne s’éternise pas et me dit, m’ordonne de venir ce soir. Je n’ai pas le temps de passer chez moi (cela éveillerait les soupçons de mon mari) et je viens habillée comme je l’étais pour le ...
    ... travail aujourd’hui.) Je suis nerveuse et il va falloir quelques Martini pour me détendre ° ° ° J’ai attendu une longue semaine, et même un jour de plus, pour bien la laisser mariner dans son jus. Vers dix-huit heures, aujourd’hui, j’appelle la galerie et demande à lui parler. Une chance, elle n’est pas sortie, sa collaboratrice me la passe : « - Bonsoir, très chère. Vous allez bien ? Désolé de ne vous appeler que maintenant, mais j’ai vraiment été débordé ces jours-ci. Est-ce que nous pouvons nous voir ce soir pour que je vous montre les clichés de la dernière fois ? Oui, je sais, ce soir c’est court mais je vous avoue que je n’aurai pas d’autre « fenêtre » avant un bon moment… je suis très pris en ce moment. Et puis j’ai compris que vous aimez bien être un peu bousculée, n’est-ce pas ? » Elle bégaie un peu, visiblement très troublée, et peine à reprendre une voix normale et une contenance, mais elle ne discute pas. Elle a bien compris que si elle refuse, je risque de l’envoyer gentiment sur les roses lui faisant comprendre qu’elle n’est pas une fille sérieuse ou très motivée, ou que je risque de reporter ça aux calendes grecques, voire ne pas plus donner de date du tout, et je sais qu’elle est dans la mouise, ça urge du côté de ses finances. J’ai compris tout de suite que si elle avait déjà pris la décision de ne pas donner suite, sa réponse aurait tout de suite été ferme, et elle m’aurait poliment fait comprendre qu’elle ne poursuivait pas, ayant peut-être trouvé une autre ...
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