La gérante de la galerie d'art (4)
Datte: 10/07/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... quand je prendrai en rafales, et même si elles sont ratées : imaginez qu’en une heure on peut vite arriver à deux-cents ou trois-cents photos prises …et en bonus je vous paierai 5 € par photo tirée sur papier, retenue pour être dans mon book. » Là je vois aussitôt son œil s’allumer. L’appât du gain. Ou la sortie du tunnel aperçue, la fin de ses ennuis financiers, enfin entrevue. Il n’y a pas que les photos qui vont être prises, crois-moi, ne puis-je m’empêcher de penser aussitôt, très pervers, et je sens immédiatement mon sexe durcir er se mettre au garde-à-vous. « - Bien entendu » continué-je pour ne pas trop la laisser calculer qu’à ce tarif combler son trou financier risque de nécessiter des mois et des années de séances de pose, « et comme je vous l’ai dit, ça ce n’est que le tarif de départ. Pour des photos un peu… spéciales… je pourrais vous payer beaucoup plus… enfin, si vous osez ces photos spéciales » ajouté-je en baissant un peu le ton. « - Combien ?! »me demande-t-elle vivement. Là il me semble découvrir sur elle un autre visage, la femme d’argent. Dans ma tête le mot « prostituée » me vient soudain à l’esprit, et j’ai brutalement envie de la punir ! Une envie sauvage, terriblement sexuelle, et mon sexe se tend encore plus et comme jamais (car c’est la première fois qu’une femme va me prêter son corps, son corps dont je vais me rendre maître, pour de l’argent !), mais je sais réprimer cette envie et je ne montre rien. Gardant mon calme, je lui réponds : « - Disons ...
... que l’heure pourrait monter à 200, voire 300, 500 € même, et par tirage jusqu’à 15, 20, 30 €… » Sa bouche s’arrondit de surprise, son œil brille, et elle reste coite. « - Mais il faudra le mériter, ma chère… Bon, puisque vous êtes d’accord, si on commençait ?! » Et comme elle reste un peu interdite, ne sachant quoi faire, je lui ordonne, sans hausser le ton : « - Allez, levez-vous, et allons au centre de la pièce. » Elle m’obéit et je la laisse me précéder. « - Je suppose que vous avez une culotte… ? » Elle hoche la tête affirmativement. « - Eh bien en passant vos mains sous votre robe vous allez la faire descendre jusqu’à vos chevilles. » Elle se contorsionne, s’exécute. Et durant ce mouvement je photographie en rafales. Ce sera un essai. Là-dessus, il y aura peut-être un cliché intéressant que je retiendrai. « - Parfait. Ecartez un peu les jambes. Oui, comme ça. En gardant votre culotte sur les chevilles. Oui, elle est tendue par l’écartement de vos jambes, c’est ça. Oui, faites cette moue boudeuse. Elle s’allie si bien à cette posture ridicule et provoquante. Maintenant, tournez-vous. Débarrassez-vous de votre culotte. Et remontez très lentement votre robe, oui, jusque sur vos reins. » Je rafale sans m’arrêter. Quand la robe finit bouchonnée sur la taille, révélant sa croupe nue, je reste subjugué : je n’aurais pas cru qu’elle avait un aussi beau cul ! De belles fesses plantureuses, bien rondes, bien déployées. J’en baverais presque ! Bon Dieu, cette fille est faite pour ...