1. La gérante de la galerie d'art (4)


    Datte: 10/07/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... solution. Je lui ai fixé le rendez-vous à 19H30 à l’appart. Je suis juste à côté, et ça me donne le temps de faire un brin d’arrangement et de mise en scène. Et même de prendre une douche, de me changer, car j’ai là-bas une petite salle de bain et un vestiaire avec quelques tenues de rechange. A 19H25 elle sonne, plus que ponctuelle. Je la trouve ravissante, comme d’habitude. Elle porte une tenue que je lui ai déjà vue : cette robe prune (ou parme, que sais-je… moi et les couleurs des fringues, et la manie qu’ont les gonzesses avec leur nom sophistiqué… De toute façon, ces fringues elles les mettent pour nous séduire et elles les enlèvent bien vite une fois que c’est fait) et ses bottes en daim noires. L’avantage avec cette robe en lainage c’est qu’elle moule vraiment ses jolies formes. Je la fais entrer et l’invite à s’asseoir sur le canapé en cuir brun, près du bar. Je lui propose un whisky – un pur malt 16 ans d’âge – mais elle préfère un Martini-gin bien tassé - et lui demande, souriant, comment vont ses affaires, faisant semblant de m’intéresser à sa galerie, bref, des banalités sans intérêt pour moi ; tout ce qui m’intéresse c’est son corps et ce qu’elle est capable de faire avec, sous mes ordres. Rapidement, je prends la pochette placée à côté et l’invite à sortir les clichés et à les regarder. Elle commence à passer en revue les photos l’une après l’autre, fascinée. « - Dites-moi ce que vous en pensez ? Vous êtes belle, n’est-ce pas ? Et là l’air coquine, mutine ? ...
    ... Ça vous fait quoi de vous voir ainsi en photo, comme si vous étiez une starlette, une égérie d’un photographe de mode ? » Je la sens à nouveau troublée. Elle regarde les clichés un à un, s’arrête par moment plus longtemps sur l’un deux, sourit parfois, comme si elle se moquait un peu d’elle, se voyant sur certains clichés poser avec air de candeur enfantine. Mais sur d’autres, les derniers, un peu plus sexy, on voit bien la femme mûre, plus sûre de son charme, avec un air aguichant. Son regard devient grave en s’arrêtant sur ses photos-là. Je crains un instant qu’elle m’échappe, qu’elle ait peur de cette révélation en image. C’est une chose de se voir dans la glace, c’en est une autre de se découvrir sur papier glacé, en grand format, ainsi exposée. Heureusement la qualité de mes photos est parfaite, il n’y a rien à en redire. J’ai acquis une maîtrise technique suffisante pour faire presque pro. Je ne la laisse pas hésiter plus longtemps ni s’installer une gêne. Je vais droit au but, de toute façon elle a eu le temps de réfléchir, en huit jours : « - Alors ma chère, avez-vous pris votre décision ? Etes-vous d’accord pour poser pour ma collection personnelle, moyennant finances. — Sur le principe oui… Mais pour quel tarif… ? » Je retrouve donc là la femme d’affaire, vénale même, oserais-je dire. « - Pour commencer, et pour des photos plus ou moins dénudées, je vous paierai 150 € l’heure de pause, plus 2 € par cliché - le nombre de clichés sera celui pris par mon appareil, même ...