1. Fêtes de Dax


    Datte: 10/07/2021, Catégories: fhh, inconnu, vacances, humilié(e), Oral

    C’est une étrange histoire. Vingt-cinq ans après, j’y pense encore. C’était l’été. J’avais rencontré, deux semaines plus tôt, une fille qui me plaisait vraiment. Je connaissais son frère aîné, qui était en fac avec moi. Elle avait 21 ans, deux ans de moins que moi. Elle était belle, longs cheveux noirs, une peau brune qui prenait bien le soleil, mince comme une liane, petit gabarit, mais vraie personnalité. Le genre de fille qu’on ne remarque pas tout de suite. Mais une fois qu’on l’a vue, on ne voit plus qu’elle. Elle avait un côté sauvage, rebelle, qui la rendait encore plus belle. Il n’y a qu’au lit qu’elle consentait à abaisser sa garde. Et encore, pas longtemps, juste une ou deux minutes après l’orgasme. Là, elle devenait tendre, câline. Puis elle reprenait son personnage d’ado boudeuse et détachée de tout. Dès la première nuit, j’ai su qu’elle était davantage pour moi qu’un amour d’été. Mais je n’ai pas osé le lui dire. Nous étions comme deux gamins qui savent jouer ensemble mais pas s’apprivoiser. Elle savait que je sortais, à Bordeaux, avec une autre fille. Alors, elle jouait à la fille libérée qui n’accordait aucune importance à notre relation. Du coup, bêtement, je faisais pareil. On avait couché ensemble dès le premier soir de notre rencontre. Elle me parlait sur un ton désinvolte de ses anciens mecs, me disait qu’elle était trop jeune pour s’inscrire dans une relation dans le temps. Ça ne me plaisait pas. Mais je ne le lui montrais pas, par fierté mal placée, par ...
    ... manque de maturité. Moi aussi, j’en rajoutais sur mes conquêtes passées, je regardais d’autres filles quand j’étais avec elle. Pourtant, il y avait des signes qui ne trompaient pas. Au lit, c’était merveilleux. Une union parfaite, un désir jamais épanché. On ne se donnait jamais de rendez-vous. Mais, comme par hasard, on se retrouvait chaque jour sur la plage, puisqu’elle se mettait toujours au même endroit. Un soir, nous sommes allés aux fêtes de Dax. Une gigantesque beuverie, avec de la musique au coin de chaque rue. Le jeu consiste à traverser la nuit, en dansant, en se perdant dans la foule, en se retrouvant. Elle portait des ballerines blanches, un jean’s serré, un chemisier blanc ouvert et rien dessous, puisqu’elle avait de petits seins. Elle dansait beaucoup, avec tous les garçons qui l’invitaient. Je regardais son joli corps ondoyer, j’entendais son rire, et puis je partais danser moi aussi au coin d’une autre rue, puisque je ne voulais pas lui montrer que je l’attendais, et surtout pas que mes copains s’en aperçoivent. Nous sommes rentrés vers 4 heures du matin. Elle avait pas mal bu. Moi aussi. La fatigue, l’alcool, et ces longues heures passées à la chercher, à l’attendre, m’avaient irrité. On longeait l’Adour pour retrouver ma voiture, garée assez loin, presque à la sortie sud de la ville. Je lui ai reproché son comportement. Elle m’a dit qu’elle était libre, qu’on n’était pas mariés, qu’elle faisait ce qu’elle voulait. Bref, on s’engueulait quand un type nous a ...
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