1. Fêtes de Dax


    Datte: 10/07/2021, Catégories: fhh, inconnu, vacances, humilié(e), Oral

    ... appelés. Il cuvait son vin dans le jardin d’une maison. Il titubait. La quarantaine, peut-être moins, un peu gros. Il n’était pas agressif, sinon j’aurais passé avec plaisir ma rage sur lui. Non, il était gai, plutôt jovial. Il m’a dit que ma copine était belle, que c’était la fête, qu’on était bête de s’engueuler, et que si j’étais un type sympa, je lui prêterais ma copine, que lui ne s’engueulerait pas avec elle, qu’il y avait mieux à faire. Moi, toujours sous le coup de la colère, je lui ai répondu que c’était à elle qu’il devait le demander, qu’elle était libre, qu’elle faisait ce qu’elle voulait. Elle m’a fixé avec son regard noir : — Tu plaisantes, j’espère ?— Pas du tout. Tu es libre, non ? Alors, prouve-le.— Ne me pousse pas à bout, sinon tu pourrais le regretter… Là, je ne pouvais plus faire marche arrière : — On n’est pas marié, tu as raison. Alors, vas-y, amuse-toi. Moi, je vous regarderai. Peut-être que j’apprendrai des choses intéressantes. On s’est regardé un moment, fixement. Aucun ne voulait rompre ni baisser les yeux. Elle m’a dit : — Très bien, tu l’auras voulu. Elle a fait demi-tour, elle est entrée dans le jardin, elle a poussé le type dans un coin, derrière un arbre, elle l’a allongé, et j’ai vu qu’elle lui baissait son pantalon, qu’elle dégageait son sexe. Elle s’est redressée pour enlever son chemisier et elle s’est penchée sur lui. Ni les grognements du type, ni les mouvements de sa tête, ne laissaient planer aucune équivoque : elle lui taillait une ...
    ... pipe, ce qu’elle faisait très bien d’ailleurs, j’en savais quelque chose. J’étais hypnotisé. Pas excité, non, c’était autre chose. J’avais le sentiment que ce n’était pas possible, que je regardais une autre fille, pas elle. Et je ne pouvais pas bouger. Le type devait être vraiment saoul, car ça n’a pas duré longtemps. Il a eu un grognement plus fort que les autres. Elle s’est levée, a remis son chemisier. Lui, il est resté là, couché, sans bouger, le sexe à l’air. Je ne sais pas si c’était l’alcool ou le plaisir, mais il était séché, inerte. Elle avait toujours cette même lueur de défi dans le regard. On est reparti vers la voiture sans se dire un mot. Pour moi, notre histoire était finie. Dans la voiture, la tension était épaisse, palpable. J’avais envie de la baiser, comme une salope, pour lui montrer qu’elle n’était rien pour moi, rien qu’un corps. Elle m’a dit que je conduisais trop vite. J’ai freiné. Il y avait des chemins sur les côtés qui partaient dans la forêt. J’en ai pris un, à peine quelques mètres. J’ai arrêté la voiture, suis descendu, ai fait le tour. J’ai ouvert sa portière. Elle est sortie d’elle-même. Elle savait ce qui allait se passer. Je l’ai retournée sur le capot. Je l’ai déshabillée entièrement, en restant derrière elle. Je ne voulais pas voir son visage. J’ai ouvert mon jean’s, et je l’ai prise comme ça, sans la moindre caresse. Je ne voulais pas lui donner du plaisir. Je voulais juste la prendre, violemment, sans un mot, sans la toucher. J’ai joui et ...