1. Fêtes de Dax


    Datte: 10/07/2021, Catégories: fhh, inconnu, vacances, humilié(e), Oral

    ... je suis remonté dans la voiture. Elle a ramassé ses affaires et m’a rejoint, toujours nue. Elle s’est rhabillée dans la voiture, pendant qu’on roulait. Il n’y pas eu une seule parole de toute la route. Je l’ai ramenée en bas de l’appartement de ses parents. Elle est descendue et je suis rentré chez moi. Affaire pliée. Le lendemain, c’est elle qui est venue vers moi sur la plage. Je dormais. J’ai entendu qu’elle m’appelait. Je l’ai regardée à travers mes lunettes de soleil. Elle avait l’air d’une ado prise en faute, avec ses petits seins qui pointaient. Elle n’était plus la rebelle, l’indocile, que j’avais toujours connue. Juste une ado. Elle n’osait pas me regarder. Elle m’a dit : — Je suppose que c’est fini entre nous ? Je n’ai pas répondu tout de suite. Pas parce que je voulais la faire souffrir. Parce que je ne pouvais pas lui répondre. Jamais je ne l’avais vue comme ça, désemparée, prête à pleurer. Elle attendait le verdict, comme une accusée face à son juge. J’ai réussi à articuler : — Pas nécessairement. Je ne pouvais rien lui dire de plus. Mon cerveau était figé. Elle est tombée à genoux contre moi, et m’a pris la main. Elle a parlé très vite, sans s’arrêter : — Je ne l’ai pas embrassé. Je n’aurais pas pu lui faire l’amour. C’était rien. Je t’en voulais. Pourquoi tu m’as laissé faire ? Tu crois que je couche facilement ? Je n’ai jamais fait l’amour comme avec toi. Pourquoi tu ne me dis jamais rien ? Je ne suis pour toi qu’un coup d’un été, c’est ça ? Tu vas retrouver ...
    ... ta copine à la rentrée ? Et moi, j’aurai l’air de quoi, vis-à-vis de mon frère, de mes copines ? Je suis bien obligée de me défendre, de faire comme toi. J’en peux plus de faire semblant, d’essayer de provoquer une réaction en toi. Tu es si loin. Ne me laisse pas. Sinon, je ferai des conneries encore plus grosses. J’ai besoin de toi. Je veux que tu sois là, longtemps. Elle pleurait. Elle avait la tête penchée. Je voyais ses larmes tomber sur le sable. Moi, je ne pouvais toujours pas lui parler. Je l’ai prise par la main et je l’ai emmenée dans la mer. J’avais envie de fraîcheur, de pureté, de sel, pour laver ce qui s’était passé. Dans l’eau, elle se serrait contre moi. Je sentais ses seins durs, contre ma peau. Je l’ai embrassée, en essayant de ne pas penser à ce qu’elle avait fait pendant la nuit avec sa bouche. Sa langue avait le même goût que la veille. Elle avait peut-être raison : c’était rien. Elle a voulu continuer à parler de ce type, m’a demandé pardon. Je l’ai arrêtée. Je lui ai dit que je ne voulais plus qu’on en parle, jamais. Quand on est remontés sur la plage, les gens autour de nous nous regardaient gentiment. J’ai réalisé qu’ils l’avaient vue pleurer, qu’ils croyaient à une querelle d’amoureux. Ils ne pouvaient pas savoir que c’était bien autre chose. A partir de ce moment, notre relation est devenue plus grave. Quand on a fait l’amour, le soir, elle m’a demandée de la regarder au moment où elle allait jouir, et elle m’a dit qu’elle m’aimait. Il n’y avait plus ...