Les routiers sont sympas (9)
Datte: 11/07/2021,
Catégories:
Hétéro
Présentation : Je suis chauffeur routier international longues distances. Depuis un peu plus d’un an, je roule sur les différentes routes d’Europe pour transporter toutes sortes de marchandises avec une semi-remorque. Je suis célibataire et compte le rester tant que je ferai ce métier qui, pour le moment, me procure bien du plaisir. Pour le sujet principal de ce site, mes besoins sexuels sont assouvis pleinement soit au hasard des rencontres, soit par quelques relations féminines « disponibles ». En cas de besoins urgents et en dernier ressort, je fais appel à la veuve poignet. Je tiens à préciser que ce n’est pas à chaque carrefour ou à chaque feu rouge qu’une fille lève le pouce pour aller d’une ville à l’autre à bord d’un « gros camion ». Et même si cela était, elles n’acceptent pas toutes de s’allonger sur la couchette pour une galipette. J’aime le sexe et ses plaisirs mais, je ne suis pas un obsédé, un violeur, un sadique, un satyre, je n’insiste pas en cas de refus. J’ai, parfois, quelques périodes d’abstinence. L’histoire que vous allez lire, comme les autres, est réelle. Seuls les noms et prénoms des personnes sont changés ainsi que certains lieux qui sont parfois imaginés. Cette histoire se passe un vendredi au cours d’un mois de décembre. Je revenais de Hollande... En fin de journée, après être rentré en France, je roule sur l’autoroute A1 dite « autoroute du Nord ». Il fait froid. Poussée par un petit vent, une pluie fine mêlée de grésil tombe en oblique. Un peu ...
... avant minuit, je m’engage sur une aire de repos pour m’arrêter et dormir. Mais avant, je dois satisfaire un besoin liquide et naturel. Cela commence à devenir urgent. J’immobilise le camion près de la porte des sanitaires, derrière une voiture arrêtée. Laissant tourner le moteur au ralenti pour maintenir le chauffage dans la cabine, je me précipite vers le premier urinoir venu. Enfin soulagé et radieux, après avoir actionné la chasse, pour quitter cette bonne place, je me retourne. J’ai la surprise de voir, vers l’entrée du bâtiment, une personne vêtue d’un manteau au col relevé jusqu’aux oreilles. Je m’avance et j’entends une voix féminine, sortant d’entre les pointes du col, dans un nuage de buée, me dire : — Bonsoir monsieur... Excusez-moi, j’ai une roue de ma voiture à plat... — Et vous ne savez pas comment la changer ?... — Si mais il y a deux boulons que je n’arrive pas à dévisser... — Allons voir ça... M’étant approché, je remarque un visage rond, à la peau « violacée » par le froid. Même en l’absence de maquillage, je peux voir que des larmes ont coulé sur ses joues. Nous sortons, je suis saisi par le froid qui règne. La voiture, juste devant mon camion, à la roue avant droite est dégonflée. — Elle est bien à plat... Où est le matériel pour la changer ?... — J’ai tout remis dans le coffre... — Ouvrez-le... Je vais tourner mon camion pour avoir la lumière des phares... Je vais vous la changer cette roue... — Je vous remercie... Vous êtes vraiment sympa... — C’est ce ...