1. L'épouse du médecin


    Datte: 11/07/2021, Catégories: fh, fplusag, extracon, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, Masturbation occasion,

    ... honte de cette émotion qui m’assaille. Presque. Je me dis que sa femme a beaucoup de chance. Moi aussi, j’ai un mari aimant et très civilisé, sociable, affable, tourné vers le confort de sa famille, mais plus doux, plus lisse, moins animal. Je l’aime plus que tout, là n’est pas la question, mais voir cet homme, je dois l’avouer, m’excite. Je m’éloigne bien malgré moi pour aller au chevet de la petite. Elle dort toujours. Je m’assieds à son côté et je me laisse aller à mes songes. J’ai très envie de retourner vers la salle de bain, mais mon éducation m’en dissuade. L’homme arrive, sec, souriant. Il porte une chemise blanche un peu petite pour lui, et un pantalon de toile qui lui colle à la peau. Il me remercie chaleureusement de mon hospitalité, puis admire sa fille qui émet un doux ronflement. Il tâte son front, toujours bouillant. Je lui propose un café, qu’il accepte. C’est en me levant que je réalise que je suis toujours nue sous mon peignoir. Il l’a vu lui aussi, et j’ai vu son regard se détourner. J’ai presque honte. Presque. Je me suis sentie rougir et frissonner. Ce n’est pas la fièvre, non, mais une forme de gêne honteuse doublée d’une quasi-satisfaction. Je n’ai pas vu de dégoût dans son regard avant qu’il ne le détourne, mais quelque chose qui ressemblait à un intérêt artistique, ce regard que vous pouvez porter à une toile qui vous émeut. Du moins voudrais-je m’en convaincre. Un second café vient de couler. Je le rejoins au salon. Il caresse les cheveux de la ...
    ... petite. C’est émouvant de voir une telle masse se montrer aussi tendre. Je resserre la ceinture de mon peignoir une fois qu’il a saisi sa tasse et que j’ai posé la mienne. Je m’assieds au fond du fauteuil qui lui fait face et repliant mes jambes sous moi. Nous discutons paisiblement. Sa fille dort. Il me remercie dix fois. Cet homme est modeste, infiniment modeste. Il donnerait sa vie pour sa fille. Il est veuf. La maman de la petite les a quittés sans prévenir. Il ne s’en remet pas. Je le sens triste, défait. Machinalement, je caresse mes jambes en lui parlant. Rien de provocant, rien d’érotique. Je passe ma main à plat sur ma peau, comme par habitude. C’est encore son regard qui me fait réaliser l’ambiguïté de mon geste. Il s’est arrêté un instant de parler, comme s’il allait s’étouffer. Je rougis à nouveau. J’ai presque honte. Presque. Je le revois nu quelques minutes auparavant dans la salle de bain. Cette pensée me trouble. Je devrais m’excuser, me lever et aller passer une tenue correcte. Mais alors il comprendrait que j’étais gênée, que j’ai quelque chose, peut-être, à me reprocher ; que je me suis imaginé qu’il pourrait avoir eu lui-même de mauvaises pensées à me voir dans cette tenue. Alors je ne fais rien. Nous continuons de discuter, et mes mains lissent la peau de mes jambes. Ça me gêne de moins en moins. À chaque fois que je bouge ma main je vois son regard s’illuminer, alors je recommence. J’aime l’effet que provoque chez lui ce tout petit geste de rien du tout. Mon ...
«1234...8»