1. L'épouse du médecin


    Datte: 11/07/2021, Catégories: fh, fplusag, extracon, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, Masturbation occasion,

    ... son sperme, je sens l’odeur de ma chatte. C’est indécent. Indécent mais excitant. Je malaxe ses grosses bourses, caresse ses cuisses, m’insinue entre ses fesses. Sa puissance est entre mes mains. La bête est docile et ronronne sous mes assauts baveux. Ses gros doigts me fouillent, me palpent, me malaxent. Des phares de voitures qui passent nous envoient des traits de lumière jaune dans un effet psychédélique. J’ai presque honte d’aimer ça, presque. Je suis toute petite, toute menue, toute blanche. Ses gros doigts m’ont martyrisé le sexe et s’attaquent à mon cul. Je n’aurais pas imaginé aimer cet acte intrusif, mais ça me donne encore plus l’envie de l’aspirer jusqu’à la mort, la petite mort que je lui offre sans le sortir de ma bouche. Nous rentrons en silence, puants de sueur et de sexe. J’ai remis mon imper et essuyé tant bien que mal les traces de ma débauche. Quand nous arrivons chez moi, nous trouvons Marion, une jeune nièce que mon mari a appelée pour qu’elle vienne surveiller la petite. Marc a été appelé par les pompiers sur le lieu d’un accident de la route. L’homme prend sa fille dans ses bras. Elle dort toujours. Il veut rentrer à pied mais j’insiste pour le reconduire chez lui. Ce n’est pas raisonnable. La petite est malade. Il semble accepter à contrecœur et m’avoue à voix basse qu’il ne voulait pas que je sache où il habite. Je l’accompagne au second étage d’un petit collectif miteux, jusqu’à la chambre de la petite qu’il couche et borde. L’appartement, petit ...
    ... mais décoré avec soin, est plein de souvenirs de sa vie d’avant, de photos de sa femme et de sa fille. Il pleure doucement, sans un mot. Je me sens mal. Il me propose un verre que je refuse poliment, et je me dirige vers la porte. Il me suit, tente de me retenir, et se colle à moi quand je saisis la poignée de la porte. Je sens mon imper et mon peignoir se soulever, ses mains me prendre les fesses, son souffle dans mon cou. Je n’ai pas le temps de réagir qu’il a déjà baissé son pantalon et pointe sa queue contre mes fesses. Une main collée à ma bouche, une autre qui me tient par le ventre, il me pénètre sans ménagement. Je me sens décoller du sol tellement il me presse. Sa queue est raide, énorme, brûlante. Quand je l’ai vu nu dans ma salle de bain, c’est peut-être cette idée-là qui m’avait traversé l’esprit, l’idée qu’il me prenne comme un homme des bois se vide de ses tensions dans la première femelle disponible sans la regarder, sans la respecter, sans chercher à lui donner de la tendresse. Je me sens mal d’être ainsi prise comme une pute, et tellement libre en même temps, tellement fière d’inspirer une telle brutalité animale chez cet homme affamé de sexe. Je lui demande d’arrêter mais je colle bien mon cul contre son ventre pour que surtout il ne s’arrête pas. Je jouis en continu depuis plusieurs minutes et je n’en vois pas la fin. Je me sens légère entre ses mains, comme une plume dont il fait ce qu’il veut. Il me repose au sol ; j’ai peur que ce soit fini. Tant mieux que ...
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