L'inceste
Datte: 11/07/2021,
Catégories:
f,
h,
hplusag,
hagé,
religion,
fsoumise,
hdomine,
massage,
Oral
... l’éducation que nous pourrions te donner nécessite que nous soyons ensemble. Donc l’union fait la force et nous serions plus à l’aise à deux que seuls. À toi de nous dire si tu veux vivre un peu de cet amour que les hommes et les femmes traversent en ce bas monde.— Et ce ne serait pas pécher que de satisfaire vos attentes ?— Tu sais, Louise…— Non, Daniel, non, je ne sais pas, justement…— Des millions d’hommes et de femmes vivent ainsi chaque jour de leur existence terrestre et ce n’est pas forcément offenser le père que de vivre un peu dans l’amour.— Et que devrais-je faire pour connaître cette… forme d’amour ?— Oh ! Rien d’autre que ce que chaque jour tu faisais à notre regretté Dominique. Ni plus ni moins !— Vous voulez dire que je devrais vous laver tous les jours ? Les deux ? Vous vêtir ?— Non, mais… tu pourrais nous prêter ta main, et faire de ce moment si particulier, celui dont tu t’acquittais, que tu prodiguais à notre frère.— Alors je ne comprends plus là ! Je l’ai aidé dans les gestes d’un quotidien devenu difficile pour lui. Du reste je n’ai jamais compris comment sœur Anne pouvait louanger autant ce pauvre goupillon qui lui croulait entre les jambes.— C’est en cela que réside l’essentiel de nos différences Louise. Nous sommes âgés, mais pas encore trop et en nous prêtant ta main, tu pourrais constaterde visu ce que nous t’expliquons.— … ! Il en existe donc, pour ce détail-là, des divergences entre les hommes ?— N’es-tu donc pas curieuse de les apprendre ? Nous ...
... serions de bons professeurs.— Je ne sais pas… je voudrais y réfléchir encore.— Bien sûr, tu as tout ton temps et nous aussi du reste. — xxxXXxxx — Les choses en étaient restées là ! Les deux moines n’avaient en rien insisté, la laissant décider seule de son chemin. Puis un nouvel hiver était venu enfermer « le Mont de Vannes » dans une gangue froide. La neige avait fait son apparition en abondance un soir de novembre, rendant difficiles les travaux quotidiens extérieurs. Les champs étaient au repos, tout comme les hommes. La jeune nonne passait la journée à cuisiner, ravauder les vêtements déchirés, et bien sûr à prier. Dès la dernière prière du soir achevée, Louise se retirait en passant par la chapelle, dans ce que tous nommaient son « appartement ». Avant de se coucher, elle passait un long moment dans le froid de la maison destinée à son créateur, agenouillée, repentante pour les fautes commises dans la journée. Réelles ou imaginées, elles lui pesaient ensuite moins sur la conscience. Alors rien que de très normal, que ce soir-là, Daniel vienne lui aussi rendre grâce au seigneur, à quelques pas de la jeune femme. Elle avait bien senti la présence d’un des deux frères, sans pour cela avoir un mouvement perceptible. Dans la pénombre de la minuscule salle, la respiration du prêtre comme celle de Louise laissaient échapper une sorte de buée. Lorsqu’elle se releva pour regagner ses appartements, le père fit de même. Il la héla simplement. — Louise ! Louise, ma fille ! Je crois ...