1. L'inceste


    Datte: 11/07/2021, Catégories: f, h, hplusag, hagé, religion, fsoumise, hdomine, massage, Oral

    ... que je me suis déplacé un nerf dans le dos, cet après-midi en descendant à la cave. Saurais-tu me le remettre en place ?— Je ne sais pas, Daniel !— Tu ne voudrais pas regarder cela ?— Venez ! Je dois d’abord rallumer le feu dans le poêle de l’appartement. Ensuite je jetterai un coup d’œil à votre bobo. Il fait très froid ce soir.— C’est comme ça tous les hivers, ici Louise. Mais nous prions et le printemps reviendra dans quelques mois. Aristide aussi est un peu malade.— Ah ? Mais il n’a rien dit.— Non ! Nous sommes endurcis par notre vie de labeur, mais là je t’assure que je souffre terriblement.— Bien ! Dans quelques minutes il fera meilleur ici, et je ferai de mon mieux pour vous remettre en état.— Merci ! Tu es une bonne fille. La nonne avait allumé le fourneau et déjà les flammes qui léchaient le bois donnaient l’impression d’un bien-être renouvelé. La lueur du feu dansait sur les murs, trouait l’obscurité d’ombres étranges. La jeune femme laissa ses mains près de la source de chaleur quelques instants puis se tourna vers le prêtre. — Bien ! Voyons votre dos. Où donc avez-vous ces douleurs ?— Là… juste là, sous l’omoplate, et ça descend pratiquement jusqu’au bas de mon dos.— Vous voulez retirer votre liquette ? Je ne peux rien voir avec ce que vous portez…— Ah ! Oui ! Oui, bien entendu. Dans le faisceau pourtant faible de lumière engendré par le foyer, l’homme soulevait sa chemise et son torse dénudé apparaissait aux yeux de Louise. — Alors ? Montrez-moi donc où ...
    ... commencent vos maux !— Par là… D’un doigt il semblait désigner un point près de la jonction du bras gauche avec le tronc. — Je ne vois pas vraiment… il faudrait masser avec un peu de pommade… attendez-moi une seconde, je vais chercher cela dans l’armoire à pharmacie.— Oui ! Un onguent à l’arnica. C’est difficile de se frictionner le dos tout seul.— Comment vous feriez sans moi ? Aristide aurait peut-être pu vous le faire.— Sans doute, mais comme lui aussi se trouve patraque… j’ai préféré ne pas lui en parler. Puis tu sais notre sœur Anne aussi nous soignait… avant toi.— Elle ne m’a rien dit à ce sujet ! Une main féminine venait de plonger dans un pot et elle en ressortait avec un baume gras au bout des doigts. Lentement, de la paume de celle-ci elle commença à étaler sur l’endroit indiqué par l’homme, sa crème. Louise s’appliquait à la faire pénétrer dans l’épiderme du vieux bonhomme. Il ne bougeait pas, bien assis sur une chaise et la jeune femme se tenait éloignée de ce corps qu’elle frictionnait. Mais de temps en temps il lui arrivait de le toucher de sa poitrine, sans malice puisque celle-là était engoncée dans ses vêtements. Le vieux avait l’air d’apprécier le massage. Il soupirait. — Je vous fais mal ?— Non ! Non tu peux descendre plus bas. Il faut en mettre jusqu’à la racine du mal. Juste là !— Si bas ? Je vais salir votre pantalon.— Non ! Attends, je vais seulement le baisser un peu, de sorte que tu puisses m’enduire le bas du dos de ta médication.— … ! Daniel s’était redressé ...
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