1. L'inceste


    Datte: 11/07/2021, Catégories: f, h, hplusag, hagé, religion, fsoumise, hdomine, massage, Oral

    ... sanctuaire, mais comme parallèlement à cela ils savent se montrer généreux…— … !— Oui ! Je comprends que devant tant de splendeurs on puisse ne plus trouver les mots… mais ici, Louise, nous n’avons pas fait vœu de silence, alors vous avez aussi le droit de donner votre avis.— Oui ! Merci Daniel… puis-je voir les… autres frères ?— Oui ! Oui, bien entendu ! Du reste voici là-bas dans les champs, Aristide. Vous voyez ?— Euh… ce petit point là-bas au fond des champs ?— Oui ! Quant à frère Dominique, il est sûrement dans la maison. Il ne s’aventure plus guère à l’extérieur, il est perclus de rhumatismes. Entrons… je vais vous montrer votre chambre.— Merci, Daniel ! Louise avait récupéré son baluchon et se dirigeait vers la grande bâtisse basse quand elle fut rattrapée par le bras par son chauffeur. — Non, pas par-là, Louise ! Venez, c’est ici. Il avait contourné la minuscule chapelle et une porte qu’elle n’avait pas même entrevue s’ouvrit. — Voici votre nouveau royaume, mon enfant ! Il venait de s’effacer pour la laisser entrer dans une petite cuisine. Un évier avec un robinet en laiton, une table, deux chaises de bois. — Votre chambre se trouve à l’étage… Au fond de la cuisine, des escaliers emmenèrent la jeune nonne vers un espace strict, mais terriblement éclairé. Rien à voir avec la modeste cellule du prieuré. — Je vous laisse vous installer, Louise… nous vous attendrons pour le dîner vers vingt heures ! Vous avez tout votre temps, installez-vous confortablement et nous vous ...
    ... verrons au repas.— Merci, merci, Daniel, c’est presque trop beau…— Allons, allons, on peut être au service de Dieu et aimer aussi les jolies choses, elles font partie de la vie… Dieu nous a fait des yeux, s’il n’avait pas voulu que nous regardions, il nous aurait laissés aveugles. Daniel avait laissé la jeune fille dans ce nouveau havre de paix. Elle avait donc mis à profit le temps qui la séparait du dîner pour préparer son lit, ranger ses quelques affaires. Ensuite, elle avait fait le tour du propriétaire. Eau sur l’évier, toilettes personnelles, le luxe vraiment. Une cuisinière à bois enrichissait encore un peu plus la pièce à vivre et ses longs corps de tuyaux montaient vers la cheminée qui, elle aussi, traversait sa chambre. Avec du feu elle n’aurait pas froid les hivers. Alors qu’elle sortait pour se rendre au repas, un des frères, voûté sur une canne l’apostropha ! — Voici donc notre jeune amie… Bienvenue à toi !— Bonsoir ! Je suis Louise.— Oui, nous savons qui tu es… et nous sommes heureux de ta venue. Comme tu peux le constater, j’ai déjà un pied dans la tombe.— C’est vous qui étiez aux champs à mon arrivée ?— Ah non ! Aristide et Daniel sont encore assez forts pour s’y rendre, moi il me faudrait la journée simplement pour faire le chemin. La jeunesse, c’est comme les fleurs, tu vois, un jour ça fane et puis ça meurt !— Oh, mon père… je vous trouve bien pessimiste…— Mais non ! Je suis réaliste, voilà tout ! Et voir une si jolie frimousse me rappelle cruellement que la ...
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