L'inceste
Datte: 11/07/2021,
Catégories:
f,
h,
hplusag,
hagé,
religion,
fsoumise,
hdomine,
massage,
Oral
... en bout de course. Le gant d’éponge descendit sur les cuisses, puis elle lui lava les pieds, pour revenir vers cette jointure et l’autre d’un souffle lui demanda gentiment quelque chose d’inattendu. — Donne-moi des sous-vêtements propres et sors de la chambre !— Mais, vous voyez bien que vous n’arriverez pas à vous changer. Je vais vous aider.— Mais… tu… tu penses vraiment ce que tu dis, Louise ?— Bien sûr, Dominique. Allons ! Il faut retirer votre linge sale…— Tu… tu crois ?— Évidemment, je vais vous laver. Ce n’est pas si terrible, et puis notre seigneur m’en saura gré. Il ne pouvait de toute manière plus bouger et d’un mouvement délicat elle venait de faire glisser sur les cuisses le slip du père. Celui-ci n’avait pas bronché. Il affichait devant les yeux de la nonne, une misérable chose qui dormait là, sur le bas du ventre. Elle n’avait jamais vu ce genre de truc. Elle passa ensuite le gant savonneux sur la limace. Puis se souvenant du secret de sœur Anne, elle se demanda comment cette horrible nouille avait bien pu entraîner celle-ci dans le péché de chair. — Vous vous souvenez de Sœur Anne, Dominique ?— Comment ? Comment vous dites ?— Sœur Anne, une des religieuses du couvent d’où je viens…— Oh oui ! C’est impossible à oublier. Mais j’étais jeune à cette époque-là. Tu la connais donc ?— Oui. Nous avons parlé toutes les deux, la nuit de ma venue ici !— Mon Dieu… tu sais donc ?— Je sais, je sais, c’est un bien grand mot. Elle avait l’air d’avoir gardé de vous un ...
... souvenir… impérissable.— Doucement avec ta main, tu vas finir par…— Oh, pardon ! Je ne comprends pas comment ce… enfin avec ça vous avez pu pêcher !— Ben ! À ce moment-là, ce n’était pas aussi moribond, j’ai été jeune moi aussi… et j’avoue que ça fonctionnait plutôt bien.— … ? Ma foi, si vous le dites…— Tu… Louise, tu as déjà goûté aux délices de la chair ?— Mais bien sûr que non… mais c’est charité que de vous aider à faire votre toilette…— Oui ! Retire donc le gant et mets seulement la main. J’aurai la sensation qu’Anne est revenue. Tu veux bien ? Juste l’idée de la main de cette bonne sœur Anne !— Et ça va donner quoi ?— Rien, juste un agréable souvenir. Et tu as aussi la main bien douce et chaude. Louise avait simplement posé ses doigts sur la peau ridée et flasque. La bête n’avait pas même eu un tressaillement. Puis elle avait replacé un caleçon propre au vieil homme et s’était réfugiée dans la cuisine. À l’heure du repas, les deux travailleurs étaient remontés des champs. Tous les trois avaient déjeuné rapidement et elle avait porté son plateau au prêtre alité. Le soir, elle était allée prier dans la chapelle, relatant à cette vierge Marie sa journée faite de découvertes. Dans sa chambre elle avait aussi lu sa bible à s’en user les yeux. Tous les jours suivants, elle nourrissait, lavait le vieillard qui s’éteignait lentement. Parfois, il ne la reconnaissait pas et l’appelait Anne. Il lui réclamait sa main souvent. Jamais pourtant Louise n’eut une seule fois l’idée que cette ...