1. Le feu où je pense...


    Datte: 11/07/2021, Catégories: h, hh, inconnu, forêt, Collègues / Travail voiture, Oral hdanus, hsodo,

    Comme tous les hommes, je pense régulièrement au sexe, peut-être trois ou quatre fois par heure à certains moments. Mais aujourd’hui, je suis au boulot et je suis vraiment excité ; je bande et j’y pense sans discontinuer depuis ce matin. Au dépôt du boulot, où je me trouve, il y a un local sans fenêtre ; j’y reviens à chaque fois en attendant d’avoir un nouvel appel pour me rendre chez le client suivant avec le véhicule de société. Le patron ne vient que rarement dans ce dépôt, et le hasard des absences et des RTT fait que suis seul à travailler aujourd’hui. Normalement, si un client ne s’arrête pas pour vouloir rencontrer quelqu’un de la société, je devrais être tranquille. J’ai le sexe toujours en pleine érection dans mon pantalon et je ne pense qu’à une chose : c’est de me soulager. Je me rends dans les toilettes, baisse mon pantalon et mon slip et commence à me branler ; la sensation est soulageante, mais une envie pas commune me prend : j’ai envie de caresser mon anus. Je mouille mon index avec un peu de salive et commence à tourner doucement autour de ma rondelle ; ça me fait un bien fou, mais ce n’est pas suffisant : mon cul en veut plus. Je mets donc mon majeur en entier dans ma bouche comme si je voulais lui faire une fellation et le lubrifie de salive copieusement. Je le dirige ensuite vers mon petit trou où il entre, à ma grande surprise, sans forcer. Je commence à faire quelques va-et-vient avec mon doigt, et de mon autre main je me branle doucement. Mon ...
    ... excitation est telle et la caresse si bonne que je n’ai pas à me masturber longtemps pour jouir fortement. Ceci fait, je me sens mieux. Je me nettoie avec du papier, me rhabille et remonte en voiture. Plus tard, je reviens vers le local ; mon excitation est revenue. Ce n’est pas une envie de me branler, mais une envie de me doigter de nouveau. J’entre donc dans le local sans allumer la lumière et glisse une main dans mon pantalon à la recherche de ma rondelle pour la caresser. À son contact, je sens qu’elle est toute chaude et que la fraîcheur de mon doigt est agréable. Je n’ai pas besoin de lubrifier, ma première phalange est déjà en moi. Je me fais du bien un bon moment, mais le téléphone m’oblige à arrêter. Les heures passent doucement et je n’attends même plus de revenir au local : toute occasion est bonne pour me mettre un ou plusieurs doigts ; j’ai d’ailleurs retiré mon slip pendant la pause de midi pour me faciliter la tâche. Je dois me rendre l’évidence : j’ai le feu au cul ! Je ne l’aurai pas cru possible, tout du moins pour moi qui suis actif. La pause de midi a été l’occasion de chercher un rendez-vous sexe sur les sites de rencontre de l’endroit, mais sans résultat. Frustré, j’ai même envoyé un texto à un ami homo pour le rencontrer le soir après le boulot (sans lui préciser pourquoi), mais il m’a répondu qu’il travaillait et finirait tard ; je reste donc sur ma faim. Toute la journée, mon esprit a été plus occupé par mon envie de sexe que par le boulot, et je ne compte ...
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