1. Le feu où je pense...


    Datte: 11/07/2021, Catégories: h, hh, inconnu, forêt, Collègues / Travail voiture, Oral hdanus, hsodo,

    ... fouiller ma raie à la recherche de son entrée, faire de petits cercles autour quand il l’a trouvée et commencer à pousser pour la pénétrer. Je sens son gland commencer à forcer mon intimité, et là une violente douleur comme mille aiguilles me transperçant me force à le stopper le temps de reprendre mon souffle et que la douleur s’estompe. Étant redevenue supportable, c’est moi maintenant qui m’empale sur ce pieu pour continuer la pénétration jusqu’en butée. — Je suis en entier dedans, me dit-il. Je suis en train de me faire sodomiser, et j’avoue en être fier. Il est à genoux derrière moi ; ses mains musclées me prennent fermement par les hanches et il commence alors ses va-et vient. Je me fais baiser ; j’ai son sexe qui me laboure le cul, je sens sa tige venir taper en butée et se retirer presque à sortir et ainsi de suite, dans un mouvement parfaitement synchronisé. Je ne peux m’empêcher de gémir, tellement c’est bon. Il me lime dix minutes, un jour, une éternité, je ne sais plus, mais je m’abandonne à son désir et ne veux pas que ça s’arrête. Il me susurre dans l’oreille : — Je peux jouir dedans ?— Oui, vas-y, gicle ton sperme en moi, je le veux ! (Je ne me reconnais plus ...
    ... désormais.) Il continue au même rythme un moment, puis ses mouvements s’accélèrent, et enfin je sens les spasmes de son sexe à mesure qu’il crache ses giclées de sperme loin dans mon cul. Ses mains lâchent mes hanches pour venir appuyer fortement sur mes épaules et me forcer à rester enfoncé profondément sur son pieu déchaîné. Les spasmes de son sexe s’espacent, perdent de l’intensité, puis finissent par cesser. Il se retire alors doucement, et la sensation de vide laissée par son retrait est désagréable ; mais mon héros de pompier a réussi à éteindre le feu de mon anus avec sa lance, et je me retrouve sur le lit avec un sourire béat, vidé et épuisé, mais tellement relax. Il commence à se rhabiller ; j’en fais de même en sortant le slip de ma poche de pantalon et en le défroissant pour le remettre à l’endroit. Il prend le premier la parole : — Ma foi, c’était bien bon. Ton slip, donne-le-moi. Je vais le garder ; je te le rendrai à mon prochain arrêt sur ce parking. Je le lui tends en souriant ; j’attends déjà avec impatience son retour. On échange nos téléphones ; une poignée de main et je me dirige vers ma voiture, les jambes un peu flageolantes, le cul douloureux, mais tellement satisfait… 
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