Le feu où je pense...
Datte: 11/07/2021,
Catégories:
h,
hh,
inconnu,
forêt,
Collègues / Travail
voiture,
Oral
hdanus,
hsodo,
... plus le nombre de fois où je me suis sodomisé avec les doigts ; si cela avait été des bites, je ne pourrais sans doute plus marcher correctement. Une bite : voilà ce qu’il me faut, voilà ce que je veux. Il faut que j’en trouve une ! La journée de boulot est enfin terminée et je me dirige sur le chemin du retour ; mon envie de m’a pas lâché et je consulte sans arrêt mon portable, à l’affût d’une rencontre qui se profilerait. Dépité, je continue à rouler quand, sur la voie opposée, je vois un poids lourd arrêté sur un parking en bordure de route. Je ne vois pas le conducteur car le rideau est à demi fermé sur le pare-brise. Sans réfléchir, je coupe la route par un demi-tour au niveau du poids lourd et viens me garer derrière lui. J’arrête le moteur et attends un peu, mais aucune activité n’est visible. Je sors de la voiture et m’appuie sur une aile un moment, guettant un mouvement, puis me dirige vers un chemin qui se trouve à droite de la cabine du camion et s’enfonce dans un taillis. Je tourne dans ce chemin, et après quelques pas je me retourne rapidement pour essayer de voir dans la cabine, sans succès. Arrivé à l’abri des regards, j’ouvre mon pantalon et commence à me masturber, même si je sais que cela ne me soulagera qu’en partie ; les doigts de mon autre main sont déjà sur ma rondelle, entrant et sortant sans difficulté. La jouissance arrive enfin et je me rends compte que je suis resté là vingt bonnes minutes. Mon pantalon remonté, je fais le chemin en sens inverse. ...
... Arrivé au bout du chemin, je vois que la portière droite du camion est ouverte et qu’un homme est assis en travers, face au chemin. Sur le coup, je ne sais pas trop quoi faire, mais il faut que je passe devant lui pour rejoindre ma voiture. Arrivé à sa hauteur, je dis poliment : — Bonjour. L’homme, la cinquantaine, assez musclé, une barbe de deux jours mais propre sur lui, est assis les pieds nus dans le vide et me regarde. — Bonjour ; beau temps pour une balade dans les bois, n’est-ce pas ?— Ou-oui, dis-je. Je pense qu’il a remarqué que j’ai passé beaucoup de temps dans le chemin. — Je m’y suis promené aussi, mais il ne va pas très loin. Pas exactement la direction à prendre pour un retour à la nature.— Non, dis-je en acquiesçant. Je me lance : — Vous vous êtes arrêté pour la nuit ?— Oui, je fais ma grande coupure ici ; je passe une fois tous les quinze jours. Je dis timidement : — Et vous dormez dans votre cabine ? Il y a une couchette ?— Oui, avec tout le confort, comme à la maison ; la femme en moins… Mais heureusement : comme cela, elle ne voit pas ce qu’il s’y passe ! Ça, c’est dit ! — Oh, je vois : des maîtresses ?— Pas seulement, dit-il en riant. C’est même bien souvent des hommes ; ils sont moins sauvages. Je m’enhardis : — Je comprends. Excusez-moi, je suis curieux, mais je pourrais voir à quoi ressemble la couchette ?— Sûr ! Monte voir. Je monte les marches menant à la cabine et me retrouve devant le siège passager, le conducteur s’étant levé pour me laisser passer. ...