1. Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (5)


    Datte: 13/07/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    Suite Un homme, enfin ! Naturellement, cette toute première baise avec Maman a été merveilleuse, mais lorsque éveillé durant la nuit j’y repense, il y manque un petit quelque chose. En réalité, c’est bien Maman qui m’a « baisé ». Entre les conseils prodigués par ses soins, ma tête qu’elle a écrasée contre ses seins, et son action à califourchon sur moi, je n’ai pas réalisé grand-chose. Maman m’a fait l’amour, c’est exquis, elle m’a affirmé que « j’étais devenu un homme », mais dans mon esprit, je ne le suis pas encore totalement. Avant de replonger dans le sommeil, je me promets de combler ce manque. J’écarte le rideau ce vendredi matin, et constate qu’il pleut. Et quand il pleut au Pays Basque, il pleut ! Des trombes d’eau peuvent s’abattre toute une journée. En apercevant cela depuis son lit, Maman se désole. A contrario, je jubile intérieurement. Excellent argument pour ne pas mettre le nez dehors et garder la chambre, selon l’expression consacrée. Assis nus devant la table de la kitchenette nous prenons d’abord un copieux petit-déjeuner. Maman devance alors mes vœux. — Je suis un peu fatiguée, et avec cette météo, que faire ? Toi je ne sais pas, mais je crois que je vais me recoucher un moment. Une petite « grasse mat’ » ne me fera pas de mal. Après tout, ça fait aussi partie des vacances. De suite, elle s’allonge à poil sur son lit, et se saisit du livre qu’elle a entamé, et dont la lecture ne progresse guère… Je m’étends sur ma couche, et commence à me tripoter ...
    ... doucement. M’apercevant, Valérie me moque : — Tu n’arrêtes donc jamais, toi ! Ah, c’est beau d’être jeune ! — Il faut bien que je rattrape le retard que j’ai accumulé ! plaisanté-je Et Maman de se replonger dans sa lecture. Ah non, elle ne va pas me faire le coup de l’indifférence, pas après ce que nous avons vécu hier soir ! Dès lors, j’accentue ma branlette, poussant des soupirs d’aise, émettant de petits râles. — D’accord, tu as gagné, j’arrive ! Dit-elle en riant et se levant d’un bond ! La revoilà agenouillée près de moi, léchant d’abord toute la hampe, puis prenant ma queue en bouche, pour la sucer voracement. Elle me libère un instant, la bouche écumante, juste le temps de me dire : — Je n’ai jamais pu résister longtemps à une belle bite, et j’adore la tienne, ni trop petite, ni trop grosse, parfaitement adaptée à ma bouche. — Et à ta chatte !... M’empressé-je d’ajouter. J’ose même un : — Et… peut-être aussi à ton cul. — Ah non, celui-là n’a jamais été visité ! Raté, un coup dans l’eau. Mais après tout, si je peux accéder sans réserve à sa bouche et sa foune, c’est déjà formidable !... Ceci placé, je décide de prendre l’initiative, qui c’est le mâle ici, hein ! (Je plaisante car je n’ai jamais eu le moindre penchant macho). Je fais s’allonger Maman, et, d’autorité, lui écarte les jambes. Elle affiche son habituel petit sourire amusé, mais parait heureuse de me voir prendre la direction des opérations. Avec encore un peu d’hésitation, je l’avoue franchement. Bisous affectueux ...
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