1. Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (5)


    Datte: 13/07/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... sur ses pieds, ses jambes, ses cuisses, puis je plonge ma tête dans sa fourche. Si Maman demeure silencieuse durant mon cunni, sa respiration se fait plus forte, sifflante, m’indiquant qu’elle n’est pas insensible à mon broutage de minou. M’y étant peut-être un peu habitué, je trouve sa mouille meilleure qu’hier, et j’en bois le maximum, j’en ai plein la bouche, sur les lèvres et le menton. J’emprunte mon nouveau mot fétiche : — Qu’est ce qu’elle est bonne ta cramouille, Maman ! — Je suis heureuse qu’elle te plaise. Et toi, qu’est ce que tu me lèches bien ! Mais j’ai envie de toi, allez, viens sur moi, viens me baiser. Afin de lui montrer qui est le « patron », je décide de la faire languir un peu, une torture pour moi-même qui crève d’envie de lui sauter dessus !... Après sa chatte, je remonte sur elle, pour m’occuper de sa plantureuse poitrine. Que je lèche, dévore, malaxe cette fois avec virulence. — Viens, mais viens donc, qu’est ce que tu attends, j’ai trop envie de te sentir en moi ! Dans un effort surhumain de retenue, je décide que le moment n’est pas encore venu. Je m’acharne sur ses seins, puis embrasse ses épaules, la chair tendre de son cou, sa bouche, avant de redescendre, vriller ma langue dans le creux de son nombril. — Fabien, mon chéri, viens, prends-moi, je t’en supplie !! Ma retenue ayant atteint ses limites, je pointe enfin mon dard à l’entrée de son con. Je repousse la main de Maman, c’est moi et moi seul qui guide ma virilité en elle. Les grandes ...
    ... lèvres s’écartent sous la pression de mon gland cramoisi, et je m’enfonce enfin dans son ventre, jusqu’au tréfonds. — Aaaaah, enfin ! Je te sens bien, vas-y, baise-moi, défonce-moi. A la missionnaire donc, je commence à m’activer dans la chatte ruisselante de Maman. Mais quelques conseils me sont encore nécessaires pour la contenter au maximum. — Non, tu t’agites, mais c’est ta queue qui doit bouger, plus que ton corps. Ne cherche pas à aller trop vite, prend-moi à fond, ressors, replonge, allez. Mes mouvements trop amples me font plusieurs fois quitter sa chatte. Dans laquelle je m’engouffre de nouveau, le plus loin possible. Je retrouve la sublime onctuosité de son vagin, sa chaleur. Après quelques loupés compréhensibles pour un débutant, je finis par trouver la bonne amplitude de mouvement, le bon rythme. Maman confirme de suite. — Voilà, c’est bien, c’est parfait, tu peux commencer à accélérer. Comment ne pas progresser rapidement, avec un tel professeur ?... Avec ma nouvelle « enseignante », je m’adonne enfin aux travaux pratiques ! A présent, je pilonne Maman de plus en plus fort. Qu’elle est belle, radieuse, nue, écartelée sous moi, crucifiée, et enfilée jusqu’à la garde à chacun de mes passages. Elle m’encourage. — Oui, comme ça, c’est trop bon, plus fort, tape, tape bien au fond ! — Maman, tu es merveilleuse, je suis en toi, je te baise, tu te rends compte, je te baise !! Je vais bientôt jouir. — Jouis mon fils, jouis, donne-moi ton foutre ! L’orgasme ravage ma petite ...