1. Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (5)


    Datte: 13/07/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... Maman. Vlan, vlan, mon sperme fuse dans son ventre, je crois dénombrer une bonne douzaine de giclées, je veux remplir Maman, la remplir comme une outre de mon jus d’homme. D’HOMME, oui, maintenant je mérite ce titre, enfin !... __________ Un petit cratère étoilé La pluie continue de tomber à sceaux ce vendredi. A présent, Maman n’en parait nullement chagrinée. Nous allons refaire l’amour une partie de la matinée. Sans presse, sans stress. Je prends très vite de l’assurance, conforté par les compliments maternels. Mes leçons se poursuivent, en testant de nouvelles positions. Exemple, la levrette. Contrairement à beaucoup d’hommes, je ne l’apprécie pas énormément. Si j’ai le plaisir de bourrer Valérie plus profondément, le plaisir de voir et entendre mon bas-ventre claquer sèchement contre ses belles fesses charnues, me manque la vue de sa poitrine ballottant en tous sens, et surtout son visage rayonnant, et ses yeux bleus charmeurs. A l’inverse, La levrette constitue une des positions préférées de Maman. Alors, souvent je la prendrai ainsi, plus pour son plaisir que pour le mien. Mais ce matin-là, en lui faisant l’amour avec passion, me vient une envie très forte, ou plus exactement une sensation. Celle… de lui faire un enfant. Je me garde bien de lui dévoiler mon voeu. Certains penseront que c’est perversion de ma part. Aucunement, il s’agit d’une ENVIE. Je hurle intérieurement : « Maman adorée, je te fais un enfant, je te fais un enfant, je te mets enceinte, enceinte !! » ...
    ... Fermant les yeux, dans ma tête je vois déjà son ventre s’arrondir, à devenir énorme, portant la vie. Et je la baise et la rebaise à n’en plus finir, avec son ventre gonflé de nos amours. Mon éjaculation sera si puissante que pas un instant je ne doute que je la mets enceinte. Mon plaisir s’en trouve décuplé, tout à la fois sexuel et mental. Une fois revenu à la dure réalité, le sentiment inverse m’envahit, un sentiment tout simplement empli de raison. Pourvu… qu’elle ne soit pas enceinte ! Car à 40 ans cela s’avère encore possible, d’autant que nous ne prenons aucune précaution. Je lui pose « innocemment » la question. Sa réponse est catégorique, mais dans sa voix, je perçois comme un soupçon de regret. — Non, non, sois tranquille, je prends la pilule… Cette posture, la levrette, me permet de surcroît de découvrir son ultime trésor, demeuré caché jusque là : son petit cratère étoilé, bien visible lorsque je lui ai maintenu les fesses écartées, tout en la baisant. Mais j’évite d’évoquer cet endroit que je crois être tabou chez elle. La pluie faiblissant, nous décidons l’après-midi de sortir un peu dans Biarritz, sous parapluie et un imperméable bien peu sexy pour Maman… Je vais de surprise en surprise, lorsqu’elle me confie tout en marchant : — J’aimerais te faire un cadeau, mon amour. — Un cadeau ? C’est gentil Maman, mais je n’ai besoin de rien. — Attends de savoir avant de refuser. Je suis certaine que ce cadeau te plaira. — Je peux savoir en quoi il consiste ? — Je veux ...