1. Une certaine façon de se faire pardonner...


    Datte: 14/07/2021, Catégories: fh, couple, Masturbation Oral pénétratio, fsodo,

    ... sa voiture à la même place. Garée comme elle est, on ne voit rien de la maison et il n’a rien à faire dehors. Donc, rien à craindre pour l’instant. J’ai fait mon gâteau, en changeant un peu la recette initialement prévue, pour en faire un comme il adore. La soirée s’est bien passée, il était content, tout heureux. Il a couché les enfants comme d’habitude en leur racontant une belle histoire. J’avais un peu d’inquiétude, mais je comptais me confesser sur l’oreiller : en général, ça passe mieux, nettement mieux ! Et puis, il y a eu ce coup de fil à la con ! Mon mari s’occupe aussi de beaucoup d’associations, et le club d’échecs a téléphoné en soirée. Une histoire d’organisation pour le prochain week-end, une rencontre interrégionale ou un truc comme ça, d’après ce que j’ai pu comprendre. Il a posé le combiné, il m’a souri : — J’en ai pour une bonne demi-heure, le club d’échecs a besoin de moi. J’y vais et je reviens dès que possible.— Ah euh ! Je… j’ai…— T’inquiète pas, je saute dans ma voiture et je fais au plus vite !— Oui, mais… il faut que…— Bisous, mon amour, je reviens au plus vite ! Et hop, parti. Vous êtes témoin(s) que j’ai tenté de le lui dire, mais monsieur n’a pas écouté ! Bon, ce qui est fait est fait… Je crains qu’il découvre les légers problèmes que j’ai eu en allant chercher la farine. Il faut que je m’organise, vite, une idée, mon royaume pour une idée ! J’ouvre mes tiroirs, sans but, la pensée vague, mais les neurones en effervescence, j’inventorie mes ...
    ... trésors féminins… Une demi-heure plus tard, j’ai entendu un crissement de freins devant la maison. Pas de doute, c’est lui. Vite enfilons la splendide robe de chambre qu’il m’a offerte dernièrement, en velours bleu nuit, souligné d’un galon d’argent sur chaque pan traînant par terre. Une allure wisigoth, la reine Brunehilde qui intime le respect, nous verrons plus tard à intimer autre chose si possible. Aux bruits que j’entends, je présume qu’il n’est pas ultra zen. La porte d’entrée me confirme ce que je craignais. Il monte quatre à quatre les escaliers et arrive dans notre chambre. Je vois bien à son air qu’il se contient un peu, même beaucoup. Il referme la porte derrière lui et me demande : — N’aurais-tu pas emprunté ma voiture cet après-midi ?— Euh, si un peu… C’est ce que j’essayais de te dire avant que tu ne partes…— Ce que tu essayais ?— Oui, mais tu ne m’as pas écoutée… Tu es parti si vite…— Ah oui ? Et avant que je ne parte, tu n’avais pas cinq minutes à toi pour me le dire ? Zut ! Là, il marque un point. Je ne me démonte pas. Câline, je m’approche de lui, décrivant un large cercle : — Écoute, mon chéri, j’avais un besoin urgent de farine pour ton gâteau…— Mon gâteau ? Tu as le chic pour inverser les situations !— Pardon, mon cœur, mais tu as aimé ce gâteau préparé avec amour pour toi ! Une mèche sur l’œil, la voix ultra douce, je devrais y arriver. Il ne répond rien, l’air toujours renfrogné. J’en profite pour accentuer mon avantage, je laisse glisser un peu ma robe pour ...
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