1. Une certaine façon de se faire pardonner...


    Datte: 14/07/2021, Catégories: fh, couple, Masturbation Oral pénétratio, fsodo,

    ... et qui dévale la pente d’une montagne de désir. Je me débats, mélange de plaisir, de frémissement et de peur. Oui, j’ai un peu peur de cet homme qui est pourtant le mien et que je ne reconnais plus tout à fait ! Il me dévore le haut des seins, le cou, les oreilles, je ne sais plus où sa bouche me mord, laisse son empreinte sur ma peau hérissée. L’instant d’après, mes seins sont extirpés de mon bustier, il les croque à pleine dent, les malaxe, les caresse, les lèche sans répit. Mon Jean est devenu un grand fauve qui me dévore, et moi, sa proie toute soumise. J’adore ça, il me veut absolument, ça va faire un sacré bout de temps que j’attendais qu’il passe la vitesse supérieure. Ce que je regrette un tantinet, c’est qu’avec lui, c’est tout ou rien ! Je ne vais pas me plaindre d’avoir transformé mon premier-communiant de mari en fougueux amant. Tout vient à point pour qui sait attendre ! Il délaisse ma poitrine pour revenir à ma bouche, je me laisse totalement aller, c’est bon, c’est suave. Nos langues se mélangent, sucrées. Je flotte agréablement, j’avais presque oublié qu’un baiser pouvait être si transportant ! Il quitte mes lèvres, descend le long de mon cou, entre mes seins, qu’il presse fougueusement. Hou que c’est fort, toutes ces sensations ! À ce tarif, demain, je vais être couverte de bleus tant il n’y va pas avec le dos de la cuillère ! Il s’attarde sur la texture de mon bustier, puis il arrive sur le bas de mon ventre, il contourne mon petit bosquet pour s’égarer sur ...
    ... l’intérieur de mes cuisses, sur cette peau si sensible qu’il baise et lèche du bout de la langue. Je ne sais pas où il va chercher tout ça, mais ça a vraiment du bon de lui érafler ainsi sa voiture ! Je me laisse aller une fois de plus, le temps semble suspendu. Sa langue remonte vers ma fente toute humide. Elle s’aventure entre mes plis onctueux, cueille ma cyprine, enveloppe mon clitoris exacerbé. Je plonge mes doigts dans ses cheveux, pour le presser sur mon sexe, pour l’absorber. Il m’en fait voir de toutes les couleurs, il m’explore totalement, mes moindres replis n’ont plus de secrets pour sa langue agile et infatigable. Je vibre, je tremble de tous mes membres, une vague violente de jouissance me submerge sans crier gare ! Furieuse, exaltée, soudaine ! Mais mon Jean n’a aucune pitié, il continue sa divine torture, mon clitoris est en feu, mon ventre s’agite de spasmes désordonnés. Une boule de feu naît en moi, irrépressible, j’hésite entre l’écarter de moi et le plaquer, le souder à mon sexe. Mes doigts se crispent dans ses cheveux, de toutes mes forces, je colle sa bouche dans mon intimité. Au contact de son nez dans mes plis, j’exulte dans un cri aigu, sans honte aucune. Sa bouche me quitte, je souffle de soulagement, tant ma jouissance fut forte. Je ferme les yeux, mes cheveux en bataille sur l’oreiller défoncé, mes bras en croix, le souffle court. Un peu de calme dans la tempête… Peine perdue, agilement il me recouvre et entre en moi comme si de rien n’était, avec ...
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