1. Une certaine façon de se faire pardonner...


    Datte: 14/07/2021, Catégories: fh, couple, Masturbation Oral pénétratio, fsodo,

    ... une facilité déconcertante, comme si mon sexe était béant et ultra accueillant ! Je tente de protester, lui dire que j’ai besoin de récupérer, mais il plaque ses lèvres sur les miennes et là je ne contrôle plus rien : je le sens en moi, sur moi, nos peaux collées, exacerbées, son poids qui me possède, moi qui ondule sous lui, je pars à nouveau vers les septièmes cieux… Loin, ailleurs, dans cet univers de plaisir féroce et de douleur jouissive… Je suis en nage, comme une chiffe molle, épuisée, vidée, sans force, morte ! Pourtant, je me sens revivre, je le veux, je le désire comme jamais je n’ai pu l’imaginer. Mon Jeannot est-il cet homme qui me fait ainsi l’amour ? Est-il le même que j’ai épousé, avec qui j’ai eu mes deux, nos deux enfants ? Aurais-je vécu auprès d’un inconnu, d’un Docteur Jekyll doublé d’un Mister Hyde ? Je ne croyais pas si bien dire !!! Presque sauvagement, je me retrouve sur le ventre, le cul en l’air. J’ai à peine le temps de réaliser la position incongrue dans laquelle je suis que déjà je sens une langue humide s’occuper avidement de mon petit trou. Ce n’est pas la première fois que mon homme passe par là, mais d’habitude, il met beaucoup plus de temps à accepter de me satisfaire par cette voie détournée, outre qu’il me demande toutes les trente secondes si tout va bien, si je n’ai pas mal, même au moment d’appliquer le lubrifiant prévu pour… Je ne sais pas bien comment je suis sensée réagir. J’avoue que j’aime que, de temps à autre, on passe par là, ...
    ... mais aujourd’hui… il est déchaîné ! J’y suis pour quelque chose, il est vrai… Hou-ha !? Mais c’est qu’il y va ! Et posément ! Il vient de m’écarter les fesses de ses doigts, pose son gland contre la cuvette de mon mignon petit trou complètement humecté de sa salive, et, imperturbablement, lentement, sans hésitation, il entre en moi, millimètre par millimètre, centimètre par centimètre, il coulisse en moi, me tenant fermement les hanches. Sous le choc, j’en ouvre grand la bouche, cherchant ma respiration ; c’est à la fois douloureux et torride ! Il me prend pleinement, au fond, je le sens de toutes mes fibres. Je n’aurais cru vivre ce genre de sensation, cette impression ahurissante et déroutante d’être ainsi possédée. Déconcertée par la tournure des événements, je lui laisse l’initiative de la suite ; de toute façon, je suis dépassée. — Masturbe-toi ! m’intime-t-il.— Qu… ?— J’ai dit : masturbe-toi ! répète-t-il, d’une voix étrangement calme.— Euh… oui… L’instant d’après, je comprends pourquoi : il commence à me pistonner sévèrement, il entre et sort avec une facilité déconcertante ! Je souffle, j’halète, je vois, ci et là, des étoiles danser devant mes yeux, mon ventre me tourne, devient brûlant ! Je perds pied, c’est trop fort, c’est trop bon, trop puissant, trop tout. J’ai déjà vécu des choses forcenées, mais pas à ce point ! Il est complètement en moi, au fond, au bout, il darde son pieu pour me remplir totalement. L’instant d’après, il retire au loin, me libérant, me ...
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