Une enclume de bonheur
Datte: 14/07/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
vacances,
volupté,
Oral
pénétratio,
uro,
... s’exclama : — Oh, mon Dieu, je vais être en retard, je vais me faire attraper ! Elle se releva et remit presto sa culotte en disant : — Je vais la garder toute la nuit comme ça tu seras encore un peu avec moi… À demain, même heure, ici ! Elle se pencha et déposa un petit bisou sur les lèvres de Louis. Il ne fit rien pour la retenir, la regardant s’éloigner. Son ordinateur intérieur tournait au ralenti, il avait besoin de faire le point, de savourer le bonheur qui venait de le frapper, tout ce qui lui était arrivé ce jour était du domaine du rêve. Il resta allongé sur le dos jusqu’à ce que la fraîcheur de la nuit le saisisse ; il rentra alors, se demandant s’il avait réellement vécu ce qu’il venait de vivre. Le lendemain en début d’après-midi, alors qu’il passait devant la maison où logeait sa maîtresse, il reconnut la voiture du mari garée juste devant l’entrée du garage. Ce n’était pas bon signe, il repassa plusieurs fois, espérant la voir et savoir si tout allait bien mais, lorsqu’il passa vers dix-sept heures, la voiture n’était plus là et les volets de la villa étaient clos. Il comprit que la nuit précédente était et resterait unique. Il passa les quelques jours de vacances qui lui restaient à errer comme une âme en peine. ooooOOOOoooo Cette histoire, je me la suis rejouée tant de fois qu’elle était devenue comme un conte pour moi, même les passages les plus scabreux n’arrivaient plus à me faire bander, bandouiller au mieux ? En tous les cas, l’objectif était atteint. Je ...
... m’enfonçais doucement dans les bras de Morphée lorsque, tout à coup, ma femme, allongée de trois quarts sur le ventre dans ma direction, se saisit de mon sexe et le caressa ; aussitôt celui-ci réagit, prenant un volume plus conséquent. Il faut dire que ma moitié n’en prenait pas souvent l’initiative mais, lorsque cela arrivait, ma queue savait que ça allait être sa fête. D’une voix endormie elle me questionna : — Tu ne dors pas ? Pas encore en état de faire des galipettes, je lui répondis par un "non" tout aussi endormi. Mais déjà, Morphée s’éloignait. Une ou deux minutes plus tard, ma chère et tendre se retourna lourdement sur le dos et resta les jambes écartées, jambe gauche allongée et jambe droite pliée, son genou soulevait le drap vers le plafond. Dans un souffle, elle dit : — J’ai envie que tu me suces ! Ces quelques petits mots achevèrent de me réveiller. Je scrutai sa silhouette à la lumière des diodes luminescentes du radio réveil. Je voulais m’assurer que j’avais bien compris et que ce n’était pas uniquement dû à mon imagination. Il faisait chaud dans la chambre, elle ne portait qu’une petite nuisette et le drap ne la recouvrait que jusqu’au pubis. Ses cuisses ouvertes étaient bien soulignées par le tissu, la pose languissante était un appel. Le triangle formé par son entrejambe m’attirant irrésistiblement, je glissai ma tête en soulevant délicatement sa jambe droite. Ma bouche rencontra ses lèvres. Comme un petit chien, la queue frétillante, je léchai ce sexe que ...