1. L'enseignement religieux


    Datte: 11/11/2017, Catégories: fh, fplusag, jeunes, profélève, douche, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, BDSM / Fétichisme Oral intermast, h+prof,

    ... sa fermeture éclair. Ma bouche quitte ses seins et s’aventure sur ses hanches, sur son ventre. J’alterne entre baisers et petits coups de langues. L’atmosphère de la pièce est pleine de chaleur, de sexualité, de tabou, d’excitation. Le temps semble s’arrêter. Doucement, je fais descendre sa fermeture éclair jusqu’au bout, tout en continuant mes caresses buccales sur ses hanches. Mes doigts reposent sur le bas-ventre de ma prof. Sans jeter de coup d’œil pour l’instant, je sens au toucher qu’il s’agit encore de dentelle. Un shorty peut-être. Je dois me retenir pour ne pas aller voir immédiatement ce dont il s’agit. Je veux y aller doucement. Mais quand même… Comment une fille d’apparence si quelconque, si timide, peut-elle s’acheter de la lingerie comme celle-ci ? Comment pouvais-je imaginer la coquine qui se cachait sous cette façade si catholique ? N’y tenant plus, je me lève, me tiens debout au pied du lit. Ma prof, attachée les bras en arrière, se mordillant toujours la lèvre, un air provocateur en ma direction, les seins humides et les tétons dressés, le pantalon défait, attendant que je lui retire cet obstacle à notre plaisir charnel. Je saisis son pantalon par la taille, elle redresse légèrement le bassin afin que je puisse faire glisser ce jean sous ses fesses. J’entre-aperçois ce tissu de dentelle rouge cachant à mes yeux les délices de sa féminité. J’ai déjà tellement envie de l’embrasser, de le visiter. Elle étend ses jambes et je fais descendre son jean ...
    ... progressivement. Je suis en train de déshabiller ma petite prof. J’avais raison. C’était bien un shorty. Terriblement sexy et absolument pas chrétien. Ses cuisses nues… diaboliquement sensuelles. C’est à peine si je m’aperçois que j’ai fini de lui retirer son pantalon. Ma prof, seulement vêtue d’un shorty est dans mon lit. Elle écarte largement les cuisses, outrageusement. Ce sexe, à portée de mes caresses, de mes baisers, de ma virilité. Ma prof lance un coup d’œil en direction de la bosse de mon pantalon. Je comprends tout de suite, et retire ce jean, ni trop rapidement, car j’ai envie de la frustrer encore un petit peu, ni trop lentement, car je suis pressé de goûter à sa féminité. Je me retrouve en boxer, sous ses yeux, sous ces cuisses qui n’attendent que moi, ce corps presque nu que je n’aurais pas pu espérer posséder si certaines barrières n’avaient pas été auparavant détruites. Les genoux sur le bord de mon lit, fasciné par le regard excité et provocateur que me lance ma prof presque nue, je commence à baisser doucement la tête en direction de ses cuisses. Mon visage s’approche petit à petit de ses cuisses. Mes lèvres les frôlent, repartent, reviennent. J’essaye de la faire languir mais j’ai moi-même beaucoup de mal à ne pas me jeter sur elle. Je commence à l’embrasser à mi-cuisses. Je sens cette peau intime sous mes lèvres, cette peau tiède et ferme. Je commence à sentir cette odeur caractéristique de femme excitée, cette odeur terriblement excitante, cette odeur de sexe. ...
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