1. L'enseignement religieux


    Datte: 11/11/2017, Catégories: fh, fplusag, jeunes, profélève, douche, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, BDSM / Fétichisme Oral intermast, h+prof,

    ... habituelle d’après le peu que je la connais. — Un problème, madame ? dis-je, car je suis quand même un garçon bien élevé.— Ah, vous ici ! Eh bien. Il me manque cinquante centimes.— Ah, je veux bien vous avancer la monnaie si vous voulez, si vous daignez valoriser un peu ma note de TD. Non, je plaisantais, m’empressais-je de rajouter, figé sur place par son regard dédaigneux.— J’espère bien. Mais j’avoue que si vous aviez cinquante centimes… Je vous les rendrai la semaine prochaine.— Je vais voir ça. Je sors mon porte-monnaie et effectivement, une pièce de cinquante centimes s’y trouvait bien sagement. Disant adieu à une potentielle pause-café du lendemain matin, je lui envoie ma pièce à travers le petit hall de la station de métro. Elle me remercie d’un signe de tête, je valide mon passe et continue jusqu’au quai. J’imagine la tête de mes potes quand la prof me filera mes cinquante centimes le mercredi suivant. Nous sommes déjà à la fin du semestre et, petit à petit, une haine relativement réciproque s’est installée entre les étudiants et cette sympathique chargée de TD. Dans la liste des défauts qui lui sont imputables, on peut dire : froide, manque d’autorité alors qu’elle pense en avoir, de toute évidence, parfois sadique, timide. Et surtout, elle connaît très bien son sujet de cours, car elle semble très catholique. Ce qui donne un peu l’impression d’être en cours de catéchisme. Quelques secondes plus tard, ma prof me rejoint sur le quai désert : — Je vous remercie, ...
    ... j’aurais été un peu embêtée si j’avais dû rentrer chez moi à pied.— J’avoue, surtout sous ce magnifique temps.— Oui, me répond-elle imperceptiblement. On dirait que je l’intimide, alors qu’elle a à peu près six ou sept ans de plus que moi. J’en profite pour l’analyser de plus près – précisons que je suis toujours au fond de la classe, ce qui n’est pas le plus pratique pour scruter l’enseignante – et j’aperçois à son doigt une bague de fiançailles. Je me demande quel peut-être l’énergumène qui la lui a offerte. À ces heures indues, les rames de métro se font attendre pendant un temps certain. Assez rapidement s’installe une atmosphère un petit peu gênante à côté de mon enseignante, que je n’apprécie au demeurant pas beaucoup : — Alors, vous voulez faire quoi plus tard, comme travail ? me demande-t-elle soudainement.— Je ne sais pas encore vraiment. Sûrement pas dans l’histoire des religions, sans vouloir vous offusquer.— Roh, j’ai vraiment l’impression que mon cours ennuie tout le monde, me dit-elle mi-agacée, mi-déçue. Je me retiens de lui faire remarquer que ce n’est pas une impression. — Oh, disons que personnellement ce n’est pas ce que je préfère, mais c’est juste une question de goût, dis-je avec une grande diplomatie.— Oui, sans doute, me répond-elle comme si elle avait peur que je la mange.— Et vous, vous travaillez sur quoi ? Je veux dire, votre sujet de thèse ? prends-je la peine de m’enquérir.— La perception du Christ au sein de l’Église hussite.— Ah d’accord. Et ça ...
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