1. L'ordre des choses (1)


    Datte: 16/07/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... parviens quand même à la faire dépasser d’entre mes lèvres. La bite se love contre elle et je sens maintenant le velours du gland qui se frotte sur la pointe de ma langue. Là encore, je ressens cette impérieuse furie qui habite mon bas ventre. Puis en me maintenant, la tête bien droite, l’homme, d’un seul coup de reins, s’enfonce jusqu’à la garde dans mon gosier. Il me maintient dans cette position et ne fait plus aucun mouvement. Mon souffle est coupé et je manque d’air, j’ai des hauts le cœur, qui contribuent à me faire suffoquer plus encore. Cela me semble durer une éternité et quand il se retire, juste un peu, je me sens soulagée. Son recul est volontaire, il lui permet par ce mouvement qui fait glisser la verge dans ce fourreau improvisé, de libérer sa semence. Abondante, elle gicle dans ma gorge, chaude, acre aussi et pas moyen de la recracher, d’autant que l’homme à nouveau me pénètre jusqu’au fond de la gorge. Il va si loin que ses couilles rentrent pratiquement, elles aussi dans ma bouche. Le sperme continue à jaillir de sa fontaine de chair et je bois tout où plutôt je dois laisser littéralement couler la substance dans mon estomac. La bite repart et laisse enfin un air frais redonner vie à mes poumons qui suffoquaient. Éric essuie au passage son vit sur mes lèvres et me dit : — Tu es aussi bonne à baiser qu’à regarder, quand je t’aurai prise par devant, par derrière, c’est toi qui va en redemander, tu vas devenir ma jolie salope, ma petite pute, je te prêterai, ...
    ... te vendrai à tous ceux qui auront envie de te limer ! Debout, relève toi petite chienne ! ieihhag Péniblement je me remets sur mes pieds et l’homme me retire l’engin qui me garde la bouche ouverte. Pendant une seconde ou deux, j’ai l’impression que je ne pourrai plus jamais refermer celle-ci. Mes mâchoires sont douloureuses et pourtant je n’ai pas le temps de m’apitoyer sur mon sort. Puis il m’oblige à me tourner, en empoignant les menottes. Je n’ai pas d’autre choix que de faire ce qu’il veut. Il me pousse sûrement, fermement, et mes tibias butent sur un obstacle. Même si je ne vois pas, je suis quand même dans mon salon et la seule chose à cette hauteur c’est la table basse. — Laisse-moi faire belle jument ! Je vais te positionner pour avoir une belle vue sur cette croupe attirante ! Toujours me tirant par les cheveux, il me fait mettre à genoux et ma poitrine est pressée sur la table. Puis je suis allongée de tout mon long et mes mains sont détachées, juste pour un instant. Juste le temps pour lui de me menotter chaque poignet après un pied de la table. Il m’écarte les jambes et sur mes chevilles, je sens qu’il pose une sorte de bracelet. Me voici écartelée et dans une position où mes seins sont comprimés alors que j’ai la tête dans le vide. Je devine que j’ai les fesses ouvertes, que l’homme doit se régaler de ce spectacle. Il doit voir le sillon bien dessiné au fond duquel se niche l’œillet sombre, puis un peu plus en dessous, le début de ma fente déjà bien humide. Je ne ...
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