1. L'ordre des choses (1)


    Datte: 16/07/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... de chaque pied contre une patte de la table. Il me tire les bras vers l’arrière, ce qui me cambre comme un arc, à la limite de la douleur physique. Mes mains s’agrippent aux bords de la table et je suis attachée dans cette inconfortable position. Plus rien ne semble bouger. Je suis en attente de ce qui va arriver. J’entends le frottement créé par le déplacement de l’homme, puis le bruit d’un liquide qui coule. Sans doute se reverse-t-il à boire ; j’ai laissé le bourbon sur la desserte. Nouveaux pas revenant dans ma direction et deux doigts me pincent le nez. Pas pour me faire mal, juste pour me mettre dans l’obligation de respirer par la bouche. Quand j’ouvre celle-ci pour happer de l’air, l’homme appuie un verre sur ma lèvre inférieure et il m’oblige à prendre une grande rasade d’alcool. Je manque de m’étouffer, mais il me force à avaler la boisson qui me brule la gorge, mais elle me chauffe aussi tout le corps dès que l’alcool arrive dans mon estomac. — Qu’est-ce qu’on dit ? Je m’entends répondre, docile : — Merci, Monsieur. Il me lâche enfin le nez et je peux respirer normalement. Il a dû s’agenouiller aussi, juste devant moi. Sur mon cou, je sens sa respiration qui coure sur moi. Il a, contrairement au mien, le souffle calme. Ses doigts sont sur mon visage, ils me caressent les joues, viennent un instant frôler mes lèvres, les tâtent lentement. L’un d’entre eux insiste et presse gentiment pour se frayer un passage entre elles. Je laisse ce doigt s’enfoncer dans ma bouche. ...
    ... Il en fait le tour, propriétaire des lieux, massant mes dents et se lovant contre la langue. Il s’enduit de ma salive, persiste encore à s’imprégner de ma bave, puis il ressort et vient directement se poser sur un de mes tétons. Il est vite rejoint par un de ses congénères, qui pincent la pointe tendue du sein. L’étau se resserre, et je pousse un cri sauvage sous la douleur qui m’irradie toute la poitrine. Maintenant, ce sont les deux mains de l’homme qui tiennent la pointe de ma mamelle. Elles passent sur celle-ci un petit objet et commencent à le serrer. C’est comme une vis qui se ferme sur le téton, l’aplatissant sans s’occuper de ma douleur. C’est atroce et je supplie cet Éric d’arrêter, lui promettant de faire ce qu’il veut, de lui donner tout ce qu’il désire. — Ne t’inquiète pas pour cela, je vais prendre ce que je veux. Ton cul, ta chatte, je prendrai tout. Tu n’as plus rien à refuser. Le second sein est aussi pris à partie et enferré de la même manière. Je hurle à la mort, je crie comme une diablesse. À chaque tentative d’échapper aux morsures des étaux, ma poitrine bouge et la douleur remonte de partout et l’homme donne encore un tour de vis pour s’assurer que les engins tiennent correctement. Il tire vers l’avant les deux tétons et je hurle de douleur, quand il relâche sa pression, mes seins sont entraînés vers le bas et sur mon ventre, je sens la présence de poids. Ceux-ci sont directement reliés à mes mamelles. Sous les poids qui pendent, la main maintenant rampe ...
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