1. La revanche de la belle


    Datte: 17/07/2021, Catégories: f, fh, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, massage, nopéné, jeu, sm, attache, BDSM / Fétichisme amiamour, jeux,

    ... petit cœur. Que dirais-tu d’enfiler une petite paire de menottes pour ta peine ? Voilà donc son plan. — Je… Enfin… Instantanément une vive douleur remonte de mes burnes et parcourt mon corps tout entier. — Les bourses ou la vie, mon trésor ?— D’accord… D’accord… La pression diminue et je peux reprendre une inspiration. Lentement, j’avance une main en direction de la paire de menottes la plus proche et m’en saisis. — Referme le bracelet sur ton poignet et montre-moi le résultat. Je place la menotte contre mon poignet et referme la mâchoire d’acier. Je tends mon bras vers Nathalie. — C’est OK comme cela ?— Très bien, mon bon ami, tu es presque au bout de ta peine. Je te laisse maintenant placer tes mains dans le dos et effectuer la même opération avec l’autre menotte. En prononçant ces mots, Nathalie se met à malaxer mes couilles comme s’il s’agissait d’en faire de l’huile. En essayant de bouger le moins possible, je fais passer mes bras dans mon dos. Je saisis la seconde menotte et le cliquetis qui caractérise la fermeture de la mâchoire retentit en emprisonnant mon poignet. — Montre-moi le résultat.— Mais que veux-tu que je fasse ? Je suis menotté ! Après d’interminables secondes d’attente, je sens enfin que Nathalie relâche sa prise et je roule sur le dos à côté d’elle en soupirant d’aise. Nathalie me regarde et me lance avec un petit sourire : — Je n’en ai pas fini avec toi… Et elle se tourne pour détacher les cordes qui emprisonnent toujours ses jambes. — Dis voir, ...
    ... Nathalie…— Hum ?— C’est normal, ça ? Elle tourne la tête et aperçoit mon poignet gauche sur lequel se trouvent fixées les deux menottes. Elle va pousser un cri, mais déjà je lui tombe dessus. Rapidement, je parviens à l’immobiliser et me voici la chevauchant dans une position identique à celle que j’occupais juste avant cet intermède douloureux. Nathalie est anéantie par ce nouveau retournement de situation et paraît renoncer à toute velléité de révolte. Pendant que ses bras abandonnent des parcelles de liberté à ma corde, elle maugrée des paroles inaudibles entre ses dents. — Qu’est-ce que tu dis ? Sans véritablement attendre une réponse, en colère contre ma tortionnaire, contre ma naïveté et contre mes parties génitales trop accessibles, je commence à enserrer son corps dans un maillage serré de liens. C’est un véritable corset de corde qui prend forme et vient comprimer son thorax, contraindre ses seins, gainer son abdomen et rigidifier sa colonne vertébrale. Je dois contenir un peu mon irritation afin de ne pas lui faire mal. De plus, pour mettre en place chaque lien, je suis obligé de manipuler Nathalie de manière importante, mais cette fois, je prends bien garde à ne pas m’exposer à ses mains (encore) baladeuses. C’est la respiration un peu hésitante, conséquences probables de la compression de sa cage thoracique et des efforts consentis précédemment, que Nathalie assène : — Je dis que tu es un menteur et que tu n’as pas de parole ! Je réunis ses mains dans son dos et saisis ...
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