1. La revanche de la belle


    Datte: 17/07/2021, Catégories: f, fh, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, massage, nopéné, jeu, sm, attache, BDSM / Fétichisme amiamour, jeux,

    ... une fine cordelette. Je la passe plusieurs fois autour de ses poignets pour les joindre, plusieurs fois entre ses poignets pour resserrer les liens, et je termine en tirant longuement sur les brides du nœud. — Je te rappelle au contraire que c’est toi qui n’as pas voulu de ma parole. À partir de ses poignets garrottés, je tends un nouveau lien jusque dans la rainure de sa croupe et de son sexe, puis remonte le fixer entre ses seins. Dorénavant, seule sa petite culotte permet à Nathalie de préserver son intimité face aux assauts discourtois des fibres de la corde. Bien que le ton de sa voix la trahisse, Nathalie tente d’ignorer les bouffées de chaleur que lui procure la morsure de la corde sur sa vulve : — Et quand tu m’as dit que tu t’étais menotté les mains, tu ne m’as pas menti, peut-être ? Avec une nouvelle corde, je relie ses chevilles entravées à la partie dorsale de son corset. Très lentement, je tire sur cette longe pour conduire Nathalie à ramener ses jambes dans son dos. Cherchant à se rebeller encore une fois, ma captive veut lancer une ruade. Mais son geste est stoppé par ses liens et se transforme en un vague soubresaut, immédiatement suivi d’un gémissement provoqué par l’intense caresse génitale d’un brin de corde. Pendant qu’elle récupère de cette inattendue décharge de plaisir, je termine de sangler ses chevilles au niveau de ses fesses. Ma colère est maintenant retombée, je me recule légèrement afin de contempler le fruit de mon labeur et je prends le temps ...
    ... de lui répondre : — Tu m’as demandé d’effectuer avec la seconde menotte la même opération qu’avec la première ; j’ai effectué exactement ce qui tu m’as demandé ! Je suis assez fier de la manière dont j’ai ligoté Nathalie. Son corps est totalement soumis aux cordes, et pourtant sa position ne doit pas être trop inconfortable. En souvenir du début de soirée, et comme la cerise que l’on appose sur un gâteau, j’ajoute une touche finale à ce tableau. Je vais chercher un rouleau de scotch et j’enferme les doigts de chacune des mains de Nathalie dans deux épais moignons. Nathalie est silencieuse, elle a renoncé à sa petite joute oratoire et a accepté sa deuxième défaite. Elle ressent les étranges plaisirs de la contention où chaque point de friction avec une corde ou un nœud se transforme tantôt en caresse, tantôt en morsure. Son corps ne peut plus répondre aux ordres transportés par ses influx nerveux, elle est devenue l’actrice principale d’un rôle qui lui échappe. Après nos ébats violents, voire brutaux, je suis surpris du total changement d’attitude de Nathalie. Bien sûr, le fait d’être étroitement ligotée doit influer sur son comportement, mais elle est maintenant totalement calme et sereine. J’ai de la peine à réaliser qu’il s’agit de la même personne qui me brutalisait sauvagement quelques minutes auparavant. Je m’assois à côté de ma partenaire de jeu et je la contemple. Soumise aux cordes, allongée sur le ventre, elle conserve sa superbe et sa grâce. Seule sa tête effectue de ...
«12...4567»