Cousin-cousine
Datte: 18/07/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
Inceste / Tabou
poilu(e)s,
vacances,
amour,
cérébral,
revede,
BDSM / Fétichisme
confession,
... encore plus l’esprit que ses seins brinquebalant en liberté, à la seule idée que sous la soie légère elle avait l’entrejambe, la toison de sa chatte, le fameux triangle, et les fesses à l’air, le même air, oui, que je respirais à côté d’elle… Mais enfin ? Elle ne se serait quand même pas déshabillée exprès en se levant, pour ensuite ne remettre que le peignoir sur elle ? Deux hypothèses se bousculaient à mon esprit enfiévré. Soit oui, elle avait bel et bien retiré sa chemise de nuit pour ne rien porter sous le peignoir. C’était voulu, pour s’exhiber à moi, elle avait compris, elle savait mes désirs et ça l’amusait, la libertine, de me provoquer encore plus, ça l’excitait de se sentir quasi-nue devant moi, et plus encore de savoir que je le savais, la coquine… Soit l’autre supposition, mais alors elle dormirait complètement nue toute la nuit ? Ah, la cochonne, sacré cousin, il ne doit pas s’ennuyer… Et elle le ferait par pure provocation, pour conserver vivace le désir faiblissant de son compagnon ? Et si, vraie nymphomane, elle avait de tels besoins qu’elle devait les satisfaire chaque jour, plusieurs fois par nuit ? Ou alors c’était lui qui la forçait, qui l’obligeait à cette indécence, pour pouvoir mieux profiter d’elle, à chaque instant balader ses mains velues partout sur son beau corps de femme, et la tenir disponible pour ses envies… Et dans ces séances, comment se comportait-elle ? Était-elle passive et soumise ou bien active, inventive même, et pour tout dire ...
... comment jouissait-elle ? Mon imagination cavalait, au grand galop de mes fantasmes. Avec quel genre de soupirs, de gémissements, de halètements, de cris d’encouragement ou de supplications pour son partenaire ? Et si j’osais un projet fou, le soir venu, une fois la maisonnée couchée, poussé par mon délire d’excitation, si j’allais jusqu’à parcourir, sur la pointe des pieds dans le couloir, les quelques mètres qui séparaient ma chambre de la leur, pour tenter d’entendre le bruit des ébats, et d’une oreille indiscrète plaquée à la porte, découvrir la mélodie du plaisir de la femme, d’abord discret menuet puis symphonie triomphante ? Dans la cuisine, devant mon café au lait qui refroidissait dans son bol, à ce point de mon effervescence, gêné et me sentant devenir écarlate, j’avais dû me courber au-dessus de la table du petit-déjeuner pour cacher la déformation de mon pantalon de pyjama et l’humidité qui risquait de s’y apercevoir. Il y avait bien sûr la question que je me posais depuis longtemps et qui revenait à mon esprit émoustillé, là dans cette cuisine. Cette belle femme mûre, quel était son charme plus secret ? Celui qui se cachait au bas de son ventre, en haut de ses cuisses. Oui, comment était sa toison intime ? Quelle était la couleur, la forme de ce jardin si caché, de cette touffe qui affolait mes pensées, de ce triangle magique ? Sa chatte était-elle légère ou fournie, bouclée ou frisée ? Elle était blonde mais ses racines châtain et ses sourcils bruns signifiaient sans ...