Cousin-cousine
Datte: 18/07/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
Inceste / Tabou
poilu(e)s,
vacances,
amour,
cérébral,
revede,
BDSM / Fétichisme
confession,
... doute une intimité plus sombre, devant trancher sur la peau blanche de son ventre. À cette époque mon expérience sur le sujet se limitait à quelques photos de nus vintages, datant du début de siècle, que j’avais dégottées par hasard, cachées dans la cave de mes parents, où l’on découvrait en noir et blanc la pilosité de ces dames. Par ailleurs, sur les statues antiques de mes livres d’histoire, les sculpteurs n’avaient représenté avec force détails que les organes sexuels masculins. Des apollons sculpturaux, à la toison pubienne bouclée et aux orgueilleuses bourses pendouillant sous leur verge au repos, mais aussi des pré-adolescents poupins, n’exhibant sous un ventre encore lisse que leur prépuce pointu. Mais ces artistes ne sculptaient aux femmes qu’un bas-ventre de marbre, lisse et anonyme, dépourvu de tout attribut féminin, rien, pas de sexe, nulle toison sur laquelle fantasmer. Était-ce par une sorte de pudeur, de respect de la femme, de lamater familias, ou bien comme d’aucuns l’ont prétendu parce qu’étant plus à voile qu’à vapeur, ils ne s’intéressaient qu’aux jeunes éphèbes dont ils pouvaient user après les séances de pose… Ce fut dans les derniers jours de ces petites vacances que je pus dénouer une partie du mystère de la toison, dans des circonstances restées gravées dans ma mémoire. J’étais à l’époque un lecteur infatigable, dévoreur de tous les livres qui me tombaient sous la main. Souvent, je me réveillais tôt, et en attendant que le reste de la maisonnée soit ...
... levé, je bouquinais dans mon lit. Ce jour-là, on était dimanche, jour où mes hôtes avaient l’habitude de faire la grasse matinée, n’ayant plus d’enfants à la maison. Mais j’avais fini mon livre la veille au soir et angoisse, plus rien à lire ce matin-là, pas même le moindre canard à feuilleter. Je me levai donc en silence pour aller au salon trouver un nouveau trésor dans la bibliothèque qui y occupait tout un mur. Là, je découvris un bouquin et réfugié dans un vaste fauteuil, je me mis à le parcourir, puis à m’y plonger, finissant par oublier le temps qui passait. Il y eut soudain un bruit de porte et de pas feutrés. Je me recroquevillais dans mon siège, zut, on allait me surprendre ici… C’était elle, qui entrait dans le séjour, me tournant le dos pour des recherches dans la bibliothèque, sans s’apercevoir de ma présence. Je ne pouvais voir que ses cheveux blonds retenus en chignon, sa jolie nuque et ses épaules recouvertes d’une dentelle qui devait être le haut d’une chemise de nuit. Le reste de sa personne m’était caché par un meuble, sorte de buffet à mi-hauteur, qui isolait le coin où je m’étais blotti pour ma lecture. Avais-je culpabilisé à ce point de me trouver là ? J’aurais dû me manifester, toussoter, dire bonjour. Mais coincé par une sorte de timidité, craignant d’être indiscret alors qu’elle se croyait seule pour évoluer en petite tenue, je ne bougeais pas, le cœur battant. Maintenant elle élevait la main pour saisir un livre et je pouvais comme en été contempler ...