1. Trois filles et leur mère


    Datte: 19/07/2021, Catégories: Anal Première fois Inceste / Tabou

    ... à sa volupté. Je me rappelai la dernière de ses confidences ou plutôt de ses tentations, et, comme j'eusse effleuré une femme sensible aux caresses, je meurtris les lèvres si tendres de cette virginité qui aimait les morsures. Je les meurtris entre mes doigts, lentement, longtemps et plus cruellement sans doute que Teresa ne les avait mordues, car, après quelquesminutes d'une endurance et d'une excitation sexuelle également extraordinaires, Mauricette éclata en sanglots. Je n'oublierai jamais cet instant de ma vie. Ce ne fut qu'un instant. Aussitôt après, sanglotant toujours mais se retournant pour m'étreindre, elle me dit, elle me cria, bouche à bouche entre vingt baisers: "Pardon! pardon de pleurer ! pardon!... mais veux-tu te taire ! C'est moi qui suis honteuse ! Ah que tu me torturais bien ! c'était bon ! j'ai joui comme si je mourais ! et puis... je ne sais pas pourquoi... j'ai pleuré comme une bête !... c'est qu'aussi... c'est qu'aussi…" Je l'entendis haleter, à croire qu'elle suffoquait ; puis elle sanglota de nouveau, me serra de toutes ses forces et avec un accent admirable elle trouva ce cri d'amour : "Jamais personne ne m'a fait aussi mal que toi !"CHAPITRE XII Trente heures s'étaient écoulées depuis la scène précédente. Teresa et ses filles avaient passé la nuit dans la banlieue chez une parente un peu putain, elle aussi, et d'autant plus empressée à les recevoir. Mais je savais déjà qu'après une assez longue discussion, à laquelle toutes quatre avaient ...
    ... pris part, Teresa s'était rendue aux volontés de Mauricette. Je savais même en quels termes elle avait capitulé. Ainsi que Mauricette l'avait bien prévu, Teresa s'était écriée :"J'aime mieux le sucer que le vendre, ton pucelage, ma gosse ! J'aime mieux ouvrir la bouche dessous que de tendre la main à côté. Et ça n'empêchera rien. Je te le recollerai. Donne le vrai, nous vendrons le faux et tout le monde sera content." Ces sortes de cadeaux coûtent fort cher à ceux qui les reçoivent ainsi. Les moralistes s'accordent sur ce point : quand un jeune homme se laisse donner par une mère le pucelage d'une fille qu'elle espérait vendre, il doit une assez belle bague à la jeune personne, un présent de la même importance à la mère et une action de grâces à Dieu. Si la jeune fille a deux sœurs, c'est plus amusant, et plus cher encore. Une bonne fortune ainsi triplée ruine en six semaines un étudiant. Mais autant les jeunes gens grugés gardent l'amertume d'avoir été dupés, autant les autres ont de plaisir à se dépouiller librement pour ces courtisanes sans calculs qui donnent tout, risquent tout, semblent ne rien attendre et nous devoir chaque jour quelque tendresse de plus. Ah ! qu'elles ontparfois de délicatesse à recevoir ce qu'elles n'ont pas espéré, à multiplier leur reconnaissance comme pour repousser la nôtre et à ne modérer que leur surprise en présence de nos cadeaux, par une sensibilité suprême de leur tact. Le rendez-vous était pris, non plus chez moi, mais chez Teresa dont ...
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