Cette chère belle-sœur
Datte: 19/07/2021,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
fplusag,
fête,
fsoumise,
fdomine,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
ffontaine,
fouetfesse,
... vient de se régaler dessus, je m’arrête pour masser la chair et calmer la petite douleur qui subsiste. J’entends alors Fanny et Thierry discuter : — Tu crois qu’elles sont ensembles ? demande Thierry— J’en suis presque sûre, J’ai toujours senti que Sylvie aimait les femmes, la façon qu’elle a de me regarder et les voir toute les deux si proches me le confirme.— Faut dire que sa copine est plutôt bandante.— Ouais, gros cochon, j’ai bien vu l’effet qu’elle te faisait.— C’est dur d’éviter de regarder, elle cache pas grand chose mais j’ai bien vu aussi qu’elle te plaisait.— Oui, c’est le genre de femme que j’aime, de plus elle n’a pas froid aux yeux, elle aime provoquer.— Elle a surtout de quoi faire dans ce domaine, elle à une belle paire de nichons et un cul bien rebondi. T’adores ça en plus chez une fille, toi !— Oui, elle très excitante. Ce qui est marrant c’est que ça n’a pas l’air de rendre jalouse Sylvie, qu’on reluque sa copine. Le pauvre Paul ne sait plus où mettre ses yeux.— C’est peut-être pas sa copine, et puis ça me gêne pas non plus, finit Thierry en riant.— Elle est peut-être aussi coquine que nous, complète Fanny en pouffant aussi. Mon apparition coupe court à la conversation et ce que j’ai entendu ne peut que me mettre en grande forme. À tel point que j’ai un peu remonté le bandeau de ma robe qui m’enserre la taille pour rendre plus bouffant encore le corsage. Je me penche alors sur Fanny en lui prenant la main. — Vos ongles sont super décorés, j’adore ces ...
... peintures sur ongle que l’on fait. Je trouve ça très sexy. Faut à tout prix que je m’en fasse faire.— Je le fais moi-même, répond-elle alors que son regard se perd entre mes seins.— Vraiment magnifique, dis-je en portant sa main à la hauteur de ma poitrine, vraiment du joli travail. Je jette un regard sur mon décolleté, mes seins pendent comme deux grosses poires trop mûres. L’encolure est si échancrée que cette fois, la totalité de ma poitrine est visible. Mes mamelons érigés comme deux pointes d’acier, mes larges aréoles sombres et, bien sûr, toute ma chair rosée striée par endroit de petites veinules bleues. Je rêve de glisser cette main sur mes seins et à voir ses yeux, je suis persuadée qu’elle rêve de la même chose. La voix de Sylvie nous coupe : — Tu peux venir nous aider Cath, Hélène nous a préparé plein de bonnes choses on a besoin de mains.— J’arrive ! Quand je rentre dans la cuisine une indifférence aussi glaciale que la patronne des lieux m’accueille. Nous repartons les bras chargés mais je stoppe Sylvie sur le seuil de la terrasse et je lui fais signe de tendre l’oreille. — Je suis persuadé que tu lui as tapé dans l’œil, dit Thierry.— Possible, Sylvie risque de ne pas apprécier, peut-être.— J’ai pas l’impression que ça la gêne, même si c’est sa petite copine. Sylvie me regarde en agrandissant ses yeux et en levant ses sourcils pour bien me faire comprendre que la conversation ne lui a pas échappée et avance sur la terrasse. Le silence se fait comme précédemment à notre ...