Cette chère belle-sœur - Histoires de Sexe

Cette chère belle-sœur

... aussi, j’ai l’impression, et puis arrête de lui regarder les seins tout le temps à l’autre salope, c’en devient gênant !— T’imagines toujours des trucs, j’te jure… Je me retire discrètement pour rejoindre les toilettes, cette conversation m’a bizarrement échauffé le bas-ventre. Une fois de plus, m’entendre appeler de noms de femmes de petite vertu m’excite, beaucoup même. Je suis vraiment dingue. Aux toilettes, je fais ce que j’ai à faire et le contact inévitable sur mon con surexcité est une sublime caresse, ou une torture, car je dois faire un violent effort pour ne pas me laisser aller à une séance de masturbation. Comme je le redoutais, le papier hygiénique est poisseux de mon jus qui a coulé en abondance. Je ne vais certainement pas remonter dans l’estime de madame glaçon si je lui laisse une grosse auréole de mouille sur son coussin, cependant l’idée me fait beaucoup rire. Alors que je me lave les mains je suis surprise d’être rejointe par Sylvie : — J’étais juste derrière toi quand t’écoutais ce qui se disait en cuisine.— Ah ? Je ne t’avais pas entendu dans mon dos, on dirait que ton plan marche à merveille. Ta chère belle-sœur est folle de rage après moi.— Oui, on se demande bien pourquoi, dit en rigolant Sylvie.— Oui, j’ai rien fait de mal, moi ! dis-je en prenant un air de gourde innocente.— En même temps, elle à raison, t’es bien une salope qui adore montrer son cul ! Disant cela, elle me tapote le postérieur — Mmhh… C’est vrai, j’aime ça, je dois le reconnaître, ...

... j’ai du mal à finir mes mots, tellement je rigole.— On dirait même qu’il y a un bonus à la soirée.— Bonus ?— Fais pas ta gourde, t’as bien vu ! Que tu plaises à Thierry, c’est pas surprenant, c’est un homme après tout. Mais que Fanny succombe à tes charmes, ça c’est une heureuse surprise.— J’en ai eu l’impression aussi, du moins ce qui est sûr, c’est que ça la gêne pas de voir son mari me reluquer et qu’elle ne s’en prive pas non plus.— J’ai vu ça aussi, j’aurais jamais cru qu’elle puisse être attirée par le sexe faible. Moi qui l’ai toujours trouvé charmante, maintenant que je sais ça… finit par dire Sylvie en écarquillant ses grands yeux avec un sourire entendu.— Bien excitant tout ça !— Je n’en doute pas, telle que je te connais, dit-elle en glissant la main sous ma robe.— J’ai essuyé le plus gros, j’étais une vraie fontaine.— Je deviens comme toi, moi aussi ça ne me laisse pas sans réaction, peut-être aussi d’avoir le minou à l’air ?— C’est quoi qui t’excite le plus ? De me voir me faire mater ou de savoir que Fanny est bi ?— Les deux, je crois, dit Sylvie en ponctuant sa phrase d’un rire retenu.— Retournons là-bas, ils vont se demande ce que l’on fabrique.— Je te rejoins il faut que j’aille aux toilettes moi aussi. En repassant devant la cuisine, j’entends que Paul et sa femme sont toujours là mais cette fois j’évite d’écouter la conversation. Je m’apprête à passer le seuil de la porte qui mène à la terrasse quand une piqûre sur le pied me stoppe. Une saleté de bestiole ...