1. Cette chère belle-sœur


    Datte: 19/07/2021, Catégories: fh, ff, fbi, fplusag, fête, fsoumise, fdomine, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, ffontaine, fouetfesse,

    ... guides ou seulement de se retrouver sans sa femme, il est déjà debout. Nous le suivons à travers un jardin fort bien entretenu, il est vrai. La végétation pousse à profusion et pas seulement des rosiers, de multiples arbustes et buissons bien taillés garnissent le jardin avec harmonie. Un vent, sans être violent mais puissant cependant, s’est levé. Il agite frénétiquement un grand cyprès et secoue sans pitié les arbustes du jardin. À l’abri sur la terrasse, je ne m’en étais pas rendu compte, il ébouriffe mes cheveux et ceux de mes voisines alors que nous déambulons au milieu des plantes. Paul, sa calvitie aidant, échappe à la colère du vent. Nous sommes en admiration devant un magnifique rosier grimpant lorsque le vent devient un fieffé coquin. Il s’engouffre sous ma robe et la soulève comme une voile. Je sens l’air battre mon cul, glisser sur ma chatte humide, y déposant au passage un instant de fraîcheur. Je vois aux yeux de mon entourage que ma nudité est alors totalement dévoilée au gré des caprices du dieu Éole. Le plaisir pris de voir ces yeux me dévorer me réchauffe le bas-ventre que l’air avait eu tant de mal à refroidir. Jouant la fille qui ne s’est rendue compte de rien, je me penche en avant pour humer le parfum exquis d’une magnifique rose mauve. Les mains vicieuses d’Éole se glissent sous ma jupette, la retroussent comme un gant, se glissent entre mes cuisses, prennent possession de mon sexe, jouent sur mes lèvres charnues et gonflée par l’excitation, tentent ...
    ... même de s’immiscer dans mon intimité tellement mon sexe est béant. Finalement, elles glissent entre mes fesses rebondies pour finir par me flatter les reins. Paul et le reste sont certainement en train de remercier le dieu du vent pour cette aide si bienvenue. Ils sont derrière, tout au spectacle de mon cul dodu caressé par la bourrasque. J’imagine qu’ils ne ratent rien de ma petite fleur éclatant entre mes cuisses, aussi épanouie que la rose que je tiens sous mon nez. Je suis trop occupée à jouir de la vue que je leur offre pour songer une seule seconde à replacer ma robe baladeuse, cependant je me redresse vivement. Une nuée d’insecte vient de me sauter à la figure, mes mains battent l’air, je distingue vaguement des bestioles rayées de jaune et de noir, des guêpes ! Prise de panique, je recule en agitant mes mains en tous sens, saute comme une hystérique, je sens à peine ma poitrine bringuebaler comme deux ballons trop gonflés. — Merde ! Des guêpes !— Bougez pas, ça va plus les énerver et vous allez vous faire piquer— Merde ! Mer… aie ! Trop tard, le conseille de Paul était sûrement bon mais une guêpe surexcitée par ma panique s’est vengée sur moi, sur ma poitrine pour être précise. — Elle m’a piquée, la saleté.— Où ça ? demande Sylvie un peu inquiète.— Là, sur la poitrine, dis-je en lui montrant l’intérieur de mon sein à un doigt de l’aréole, la vache, ça fait super mal.— Montre ça. Sylvie tire le pan du V de ma robe, pourtant déjà bien large, découvrant ainsi mon sein dans ...
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