Cette chère belle-sœur
Datte: 19/07/2021,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
fplusag,
fête,
fsoumise,
fdomine,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
ffontaine,
fouetfesse,
... sa totalité pour peu que l’on plonge le regard, ce que tout le monde fait. Elle inspecte la piqûre comme si elle était une experte et dit : — C’est bien rouge, elle t’a pas ratée.— Il faut passer un oignon coupé dessus, c’est un remède miracle pour les piqûres. Il suffit juste de frotter un peu dessus, dit Paul dont l’expertise en la matière me semble bien plus crédible.— Tu dois bien avoir ça à la cuisine encourage Sylvie qui me voit souffrir— Oui, allons, ça fait super mal, si ça peu me soulager. Nous partons d’un pas vif vers ce lieu de délivrance, passons par la porte fenêtre restée ouverte sans avoir besoin de repasser par la terrasse. Paul se retrouve rapidement un oignon à la main qu’il coupe en deux, il me le tend alors. Je sens l’odeur un peu piquante caractéristique et avant que je puisse m’en saisir Sylvie clame : — Passe-lui donc toi-même, tu as plus l’habitude, tu sauras mieux faire. On va pas la laisser souffrir comme ça.— Euh… oui, bien sûr.— Oui Paul, faites donc que cette saleté de douleur s’arrête, dis-je pour confirmer. Malgré la douleur qui persiste, bien que déjà moins virulente, je ne peux m’empêcher de poursuivre ce jeu si excitant orchestré par Sylvie pour son frère, avoir Fanny en spectatrice ne gâchant rien au plaisir. Une main timide et indécise s’avance lentement, pour le rassurer je dis : — C’est là, tout en tirant sur le pan de ma robe.— Ah… oui, je vois, c’est bien rouge. Le contact frais de l’oignon fait un bien immédiat, Paul commence un ...
... massage sur la zone sensible. Comme ses doigts débordent un peu, je sens sa chair frotter sur ma poitrine. — Ça a l’air de te soulager, dit Sylvie.— Oui, c’est dingue, ça doit neutraliser le venin ou un truc comme ça.— Peut-être, Paul élargis bien, le venin a dû s’étaler, conseille Sylvie.— Euh… oui certainement. Paul, le bienheureux, applique à la lettre les conseils de sa sœur, il masse une zone bien plus large et avec plus de force aussi. Mon sein se déforme sous la pression, tellement il rentre dans la chair, ses doigts n’en touchent qu’encore plus ma peau. Il est cramoisi, son front coule à grosses gouttes, ses yeux sont exorbités, sa bouche entrouverte finit de lui donner un air un peu niais. J’en rigolerais presque si la situation n’était pas si excitante. Non seulement la caresse mais aussi les yeux brillant de perversité de Sylvie, sans parler du regard lubrique que lance Fanny. Je crois qu’elle est à deux doigts de se jeter sur mon autre sein quand Sylvie dit. — Tu dois pouvoir arrêter, elle n’a plus l’air d’avoir mal. Paul poursuit son geste, frôlant de plus en plus mon téton et comme s’il venait enfin de comprendre les paroles de sa sœur, retire une main tremblante de mon corsage. Toujours aussi rouge et transpirant, il me sourit bêtement. — Merci Paul, vous m’avez sauvée !— On peut dire qu’il t’a enlevé une belle épine non pas du pied mais du sein, dit Sylvie en rigolant.— Les guêpes ne laissent pas de dard, répond Paul en bafouillant, trop perturbé pour saisir ...