Cette chère belle-sœur - Histoires de Sexe

Cette chère belle-sœur

... de mon fessier et dit : — Allez ! réponds, t’as aimé montrer ton cul de chienne en chaleur.— Oui…— Dis que t’aimes ça, elle m’empoigne encore plus fortement la fesse.— Oui, j’aime ça… Ce jeu me comble, j’écarte sans m’en rendre compte les jambes légèrement. Sa main glisse sur mes fesses et tombe entre mes jambes. Ma respiration devient haletante. — T’as aussi aimé montre ta chatte de salope, n’est-ce pas ?— Oui, j’aime ça… dis-je en me cambrant en arrière pour faire ressortir mon cul et mieux profiter de cette main si agréable. Elle est collée dans mon dos, je sens son souffle sur ma nuque. Elle poursuit sur un ton toujours aussi sulfureux. — Ça t’a fait mouiller de montrer tes nichons à Paul ?— Oui… comme une folle.— Comme une salope que t’es, hein ? Que l’autre conne de traite de pute, t’as aimé ça aussi ! Ses doigts me massent les lèvres, son souffle s’accélère sur ma nuque.— Oui, ça aussi j’ai aimé. Sa main quitte mon sexe en feu, une profonde frustration m’étreint les reins. Une claque tombe sur mon cul cambré. — Mmhh, je gémis sous la surprise.— T’aurais voulu qu’elle te batte ton cul pour te faire payer ton comportement de pute, hein ? Sa main s’abat plusieurs fois sur ma croupe, chaque fois elle finit en m’agrippant la fesse et en faisant pénétrer ses doigts en profondeur dans la chair. Je geins sous le plaisir ressenti. — Mmhh…— Allez, dis-le, exige-t-elle en faisant renter plus ses ongles dans ma fesse.— Oui, j’ai envie de ça aussi…— Vient là ! Sa main se ...

... retire et elle me pousse de quelques mètres le long de la balustrade, je me retrouve face aux volets clos de la chambre de Damien. Toujours accoudée à la balustrade, elle me penche en avant comme je me tourne pour la regarder. Mon ventre rond est en appui sur la barre en métal, je sens ma jupe se retrousser. Sylvie la replie serrée pour la bloquer ainsi et dévoiler mon cul cambré dans sa totalité. Une nouvelle fessée claque suivie pas des mots crus de Sylvie : — T’as envie de jouir maintenant, tu penses qu’à ça, avoue !— Oui… J’en, crève d’envie. C’est peu de le dire, j’en suis arrivée à un tel point d’excitation qu’une série supplémentaire de claques sur mon popotin arriverait sans mal, et rapidement, à me faire jouir. Malheureusement sa main me lâche la fesse une fois de plus. J’entends alors un bruit de grincement, une bande lumière m’entoure. Je comprends que Sylvie a ouvert les volets restés entrebâillés de la chambre de Damien. À en juger par le large bandeau de lumière qui m’entoure, ils sont ouverts en grand. Je jette un coup d’œil en arrière pour voir Sylvie se reculer à l’abri d’un gros laurier-rose en pot qui décore le balcon. Il ne faut être bien maligne pour comprendre ce que souhaite voir Sylvie. Je me cambre, toujours accrochée à la barre en fer forgé du balcon. Mes mains rejoignent mes fesses pour les écarter et faire ressortir mon sexe en éruption, mes lèvres saillantes et gonflées, le trou béant sur mon vagin. Je malaxe mon cul prenant bien soin d’écarter mon ...