1. Cette chère belle-sœur


    Datte: 19/07/2021, Catégories: fh, ff, fbi, fplusag, fête, fsoumise, fdomine, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, ffontaine, fouetfesse,

    ... nous accompagne jusqu’à la voiture. Pour qu’il garde une belle image de moi et qu’elle lui remplisse la nuit, assise dans la voiture, je garde mes jambes dehors largement ouvertes. Il a du mal à regarder sa sœur qui lui fait ses adieux, ses yeux sont scotchés entre mes cuisses. Enfin parties, Sylvie est non seulement aux anges mais son regard luit d’une lueur ardente, assise derrière son volant, elle me demande : — Contente de ta soirée ?— Oui très agréable, ils sont charmants, chacun à leur façon.— Même la façon d’Hélène t’a plu ? demande Sylvie en rigolant.— Ça a son charme à sa façon, dis-je en rigolant aussi.— Moins que les attentions de Paul quand même, j’imagine la tête qu’elle aurait faite si elle t’avait vue te faire tripoter les nichons par lui. Elle t’aurait sauté dessus toutes griffes dehors en te traitant de tous les noms. Ses yeux sont encore plus brûlants quand elle évoque cette situation. Je ne sais si c’est l’idée de voir sa belle-sœur en rage ou celle de l’imaginer se déchaînant sur moi d’une manière plus ou moins vicieuse. Pour abonder dans se sens, je réponds : — Mon postérieur aurait certainement subit les foudres de sa colère.— Ah ! Ah ! Et t’aurais aimé ça en plus, je parie, elle aussi, va savoir, elle cache peut-être son jeu. Nous rigolons toutes les deux. Le silence se fait quelques minutes ce qui me laisse le temps d’imaginer une Hélène tenant le rôle de ma professeur d’anglais Anne-Marie (lire : 13621 et 13695). Ce rôle de maîtresse-femme me ...
    ... corrigeant pour mon comportement déluré avec son mari, bêtement l’idée m’excite. Sylvie me sort de mes pensées tordues en me parlant de nouveau de la soirée, des attentions soutenues de Fanny et son mari et des moments les plus croustillants. Ceci n’est pas fait pour calmer la chaleur qui bouillonne dans mon bas-ventre. Aussi, c’est une Catherine bien excitée qui sort de la voiture à notre arrivée. Je monte seule vers ma chambre, Sylvie faisant une pause toilette au passage. Dans le couloir à l’étage, je vois que la porte de Damien est entrebâillée et qu’un rayon de lumière s’en échappe. Je jette un œil au passage, il est assis devant la porte-fenêtre de sa chambre, occupé sur son ordinateur. Une fois dans ma chambre, il fait une chaleur étouffante, j’éprouve le besoin de prendre l’air sur le balcon. Sur ma droite, un fin fil de lumière perce par les volets entrouverts de la porte fenêtre de Damien, les bruits nocturnes m’entourent, je suis bien. Je suis accoudée à la balustrade, le regard dans le ciel étoilé, lorsque Sylvie me rejoint. Sa main glisse sur mes fesses. — Alors ton petit cul à besoin de prendre l’air ? Sa main glisse sous la jupette pour rentrer en contact avec mon postérieur. — T’a pris ton pied, hein ? À montrer ton petit cul de salope ! Je connais maintenant le timbre de cette voix et ce qu’il signifie. Elle aussi est sur des braises et depuis qu’elle a découvert une nouvelle façon de prendre son pied elle ne peut plus s’en passer. Elle m’empoigne sèchement la chair ...
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