Cette chère belle-sœur
Datte: 19/07/2021,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
fplusag,
fête,
fsoumise,
fdomine,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
ffontaine,
fouetfesse,
... soutif.— Si tu le dis… mais c’est peut-être parce que je les laisse dans leur cage qu’ils se tiennent si bien malgré mon âge.— Pour ce soir, vive la liberté !— D’accord, je suis l’objet de tes caprices ce soir, tu as fini ?— Ce soir seulement ? Mais non, pas tout à fait fini. Alors que je remets les pans de ma robe à leur place sur mes épaules, Sylvie soulève les volants de la robe. — Tiens-moi ça en haut, une seconde.— Tu crois que c’est le bon moment pour me faire un broute minou ? dis-je en saisissant le tissu pour dévoiler mon bas-ventre.— Je suis sûre qu’avec toi c’est toujours le bon moment mais c’est juste pour… Ses doigts se glissent sous l’élastique de mon slip et le tirent vers le bas. Je n’ai pas besoin d’explications détaillées pour savoir que je dois jouer des jambes pour que ma culotte me quitte définitivement pour la soirée. — Et maintenant, je suis comme tu veux que je sois ?— Oui, te voilà parfaite !— Toi aussi tu t’es allégée ? Comme moi ?— Mmhh… Pourquoi pas ! Je sens que tu vas me faire mouiller ce soir et j’adorerais laisser un souvenir sur ses canapés à l’autre conne. Sa culotte se retrouve sur ses chevilles et rejoint la mienne au pied de la penderie. — Je vois ce que tu attends de moi pour ce soir mais j’avoue ne pas bien comprendre pour autant.— Paul, mon frère, n’a pas l’œil dans sa poche dès que de la chair fraîche traîne autour de lui ce qui, en général, met ma chère belle-sœur de très mauvaise humeur. Le voir faire sous son propre toit va ...
... certainement être follement drôle quand je verrai la gueule que va tirer l’autre conne !— Je ne savais pas que tu pouvais être aussi machiavélique. Mais ne penses-tu pas que la fraîcheur de la chair en question laisse un peu à désirer ?— Tu plaisantes ! Damien est certainement de mon avis d’après ce que j’ai pu en voir. En me donnant une tape sur les fesses Sylvie ajoute : — Allez, en route, viens donc exhiber ton joli petit cul de salope. Avant de partir, je me regarde une dernière fois dans le miroir, mes bouts de seins toujours aussi proéminents à leur état naturel forment deux bosses bien visibles sous le tissu assez fin de la robe. Quand je me mets en marche pour suivre Sylvie, je les sens ballotter à chacun de mes pas. D’autant que je suis perchée sur mes sandales à hauts talons qui rendent ma démarche encore plus chaloupée. Moins de trente minutes après, nous sommes devant leur porte, c’est la maîtresse de maison qui nous ouvre. Hélène est une grande femme aussi sèche que Sylvie est ronde, des cheveux noirs marbrés de quelques fils blancs tirés en arrière renforcent ce sentiment de froideur que j’ai en la voyant. Son corps est sans forme, on le devine aisément même si elle porte une robe un peu ample. Le moins que l’on puisse dire c’est qu’elle n’a pas un charisme fou engageant à la sympathie. Je lui donne entre 45 et 50 ans. — Bonjour Hélène, tu vas bien ? Après un effleurement des joues qui tient lieu de bises, Sylvie poursuit : — Je te présente mon amie Catherine.— ...