Cette chère belle-sœur
Datte: 19/07/2021,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
fplusag,
fête,
fsoumise,
fdomine,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
ffontaine,
fouetfesse,
... Enchantée, dis-je en m’apprêtant à lui faire la bise mais une main glacée se tend vers moi.— Enchantée, répond Hélène tout en me jaugeant des pieds à la tête. Je vois à sa trombine qu’elle apprécie peu ce qu’elle voit, certainement pour cela qu’elle reste muette un certain nombre de secondes. Ces yeux riboulent dans leur orbite comme pour dire « mais qu’est-ce qu’elle m’amène là, l’autre », puis poursuit : — Ma sœur est déjà là avec son mari, entrez donc. Elle nous tourne le dos et s’avance à l’intérieur. Je profite de cela pour chuchoter à l’oreille de Sylvie. — Quel glaçon ! Il ne doit pas se marrer tout les jours, ton frère.— Pourquoi tu crois qu’il est sur la route toute la semaine, la visite de clients à bon dos. Nous étouffons un rire toutes les deux et suivons madame glaçon à travers la maison quand elle nous dit : — Nous sommes installés sur la terrasse dans le jardin.— Avec la chaleur qu’il fait, c’est certainement l’endroit le plus agréable, croit bon d’ajouter Sylvie.— Oui, rien que d’être à côté de la piscine, même si on ne trempe pas dedans, suffit à donner une impression de fraîcheur. Sylvie me chuchote à l’oreille : — Elle est très fière de sa piscine et dès qu’elle peut en parler… Je souris en voyant qu’elle ne rate pas une occasion de la critiquer, c’est vraiment le grand amour entre ces deux-là. Je comprends encore mieux son besoin de la torturer en m’utilisant comme objet de sévices. Nous débouchons sur une grande terrasse, immense même, bien ombragée ...
... sous une pergola garnie de végétation. Une jolie piscine trône en effet sur un des côtés de la terrasse et, quoiqu’en dise Sylvie, je dois avouer qu’un sentiment de fraîcheur bienfaisante m’envahit à sa simple vue et au son du clapotis de l’eau. Tout le monde est assis autour d’une table basse de jardin. Nous les rejoignons en descendant trois larges marches partant de la maison. Je sens ma poitrine, totalement libre de tout maintien, ballotter joyeusement à chacun de mes pas. Trois paires d’yeux suivent notre arrivée. Sylvie me présente au reste des invités et à Paul. Fanny à l’air bien moins coincée que sa sœur, et plus jeune aussi. Elle a un nez court et pointu, des grands yeux verts rieurs qui ressortent bien sous une coupe au carré de cheveux bruns. Son visage est aussi encadré par une paire de lunettes noires rectangulaires qui lui donne un air de maîtresse d’école ou quelque chose comme ça. Son corps aussi est plus féminin que celui de sa sœur et révèle quelques formes sous un T-shirt étroit et un bermuda moulant. Son mari a un visage très jeune. Seuls ses cheveux gris trahissent un âge bien plus avancé que pourrait le laisser croire une figure exempte de toute ride. Un franc sourire le rend d’abord sympathique. Lui aussi est svelte et semble avoir un corps tonique. Paul, quant à lui, est bien enrobé, un estomac bien rond, des joues bien gonflées et comme pour être bien assorti au reste, un crâne bien dégarni et parfaitement rond lui-aussi. Contrairement à sa dame il est ...