Cette chère belle-sœur
Datte: 19/07/2021,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
fplusag,
fête,
fsoumise,
fdomine,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
ffontaine,
fouetfesse,
... beaucoup plus chaleureux qu’elle : — Voilà donc la fameuse Catherine, Sylvie nous a souvent parlé de vous. Tout en me disant cela, je vois que son regard glisse sur mes formes. Je n’ai pas à me poser la question de savoir si je dois lui faire la bise car il se jette sur mes joues pour y déposer deux bisous sonores. En suivant l’exemple, Fanny et Thierry me donnent l’accolade. Une balancelle à deux places nous tend les bras, nous nous asseyons, ou plutôt nous nous enfonçons dedans, Sylvie et moi, tellement elle est profonde et basse. La position est telle que ma courte robe ne couvre plus que le minimum et dévoile largement mes cuisses que je garde bien sagement serrées. Décidément Paul à l’œil vif, comme me le laissait entendre Sylvie, car ses yeux ronds sont déjà en train de reluquer mes cuisses dénudées. Son attention n’a pas échappé à mon amie qui affiche un petit sourire satisfait, je comprends encore mieux ce sourire lorsque je jette un œil au visage congestionné d’Hélène sur ma gauche. Je fais un rapide tour des invités assis autour de cette petite table, à côté de Paul qui est face à moi, il y a Fanny. En bout de la table, Thierry fait face à Hélène et a Sylvie à sa gauche. Hélène observe son mari avec un air plus sévère que jamais et me lance un regard noir dans la foulée. Sylvie me demande alors : — Tu peux m’attraper un toast dans le plat devant toi ?— Oui bien sûr, même si je me dis qu’elle pourrait tout aussi bien le faire que moi. Enfoncée dans la balancelle, je ...
... suis obligée de me pencher fortement pour aller quérir la friandise sur la table basse. Paul, assis en face de moi, tente de m’aider en approchant le plat mais cela ne change rien. Je relève la tête toutefois pour le remercier avec mon plus beau sourire, mais je vois vite qu’il ne pourra pas l’apprécier. Ces yeux plongent dans mon corsage qui s’est amplement ouvert de par ma position. Sachant que cela doit beaucoup plaire à Sylvie, mais pas uniquement à elle bien sûr, je prends mon temps. — Ils sont à quoi, les petits rouges ?— À la tomate.— Mmhh, ils ont l’air bon, et les noirs ?— De la tapenade, c’est très bon, Vous connaissez ?— Je crois en avoir mangé une fois. Tout en jouant les indécises, j’admire mon décolleté pour jauger du spectacle que j’offre. Mon 95D, ou E, bien ferme, est visible en grande partie entre les pans du large V de ma robe. La chair laiteuse de mes deux globes volumineux est d’un contraste éclatant avec le rouge de la robe. Mes mamelons ne seraient pas si imposants que le tissu aurait plus glissé et aurait dévoilé jusqu’à mes aréoles. Malheureusement il est accroché à mes tétons qui le tendent et empêchent le V de plus s’écarter. — Et les roses c’est quoi ?— Du tarama, c’est à base d’œufs de poisson, je crois. Adorant jouer mon rôle de gourde indécise, je dis en levant les bras au ciel et en agitant mon buste : — Y a trop de choix, je sais plus quoi prendre, et toi Sylvie tu veux quoi ? Je ne t’ai même pas demandé. Paul n’a rien perdu des soubresauts de ...