Cette chère belle-sœur
Datte: 19/07/2021,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
fplusag,
fête,
fsoumise,
fdomine,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
ffontaine,
fouetfesse,
... canapé sur la table et se faisant, prend appui sur mon genou droit. Elle en profite pour m’écarter la cuisse au passage, la pression est telle que je vois bien que cela n’a rien d’accidentel. Je me laisse faire avec complaisance. Hélène qui est sur ma gauche ne se rend certainement pas compte de ma position mais Paul qui est lui face à moi en écarquille les yeux, sa bouche s’ouvre, lui donnant un air stupéfait et un peu bête aussi. Volontairement, enfin disons que je n’ai pas l’ombre d’un doute, Sylvie laisse choir un toast à mes pieds. — Mince que je suis maladroite.— Attends, ne bouge pas, je le ramasse, dis-je comprenant bien ce qu’elle veut. Je suis obligée de me plier en deux pour plonger entre mes pieds et je prends bien soins d’écarter mes cuisses pour cela. Je les écarte en me tournant légèrement pour que Paul et Fanny, assise à ses côtés, puissent en profiter. Malheureusement Thierry qui est face à miss glaçon ne peut probablement pas se rincer l’œil. Le frérot n’en croit pas ses yeux, à tel point que cela attire l’attention d’Hélène. Elle ne peut se douter que son mari est en train de reluquer mon sexe complètement à nu avec mon petit triangle pubien bien taillé au-dessus, mais elle comprend bien que mon entrejambes n’a plus aucun secret pour lui. Elle doit croire que son mari se rince l’œil sur une affriolante petite culotte, si elle savait ! J’en pouffe intérieurement. Fanny aussi a su apprécier mon geste à sa juste valeur, elle aussi affiche une mine surprise. ...
... Ses yeux déjà agrandis par les verres de ses lunettes deviennent immenses, ses sourcils s’écartent en signe d’étonnement, sa main se porte à sa bouche pour masquer un petit rire. Elle se tourne rapidement vers son mari et même sans entendre parfaitement je comprends qu’elle lui glisse à l’oreille : — Elle est à poil sous la robe. Je replie enfin mes jambes en prenant l’air le plus désinvolte possible. Paul s’étouffe à moitié en essayant d’avaler un toast, il essaye de se donner une contenance en voyant sa femme lui jeter un regard lourd de reproche. Celle-ci se lève en prenant un plat quasiment vide et dit sèchement : — Paul, suis-moi, j’ai besoin de ton aide !— Oui j’arrive.— Ne pars pas les mains vides, tu vois bien qu’une des bouteilles de jus de fruit est vide.— Oui, bien sûr. Paul se lève après m’avoir donné un sourire disant « j’ai pas le choix » et suit penaud sa femme qui est déjà partie d’un pas vif. Je les regarde disparaître avec un sourire en coin lorsque Thierry m’interpelle : — Catherine, vous pouvez me passer l’autre bouteille de jus d’orange, j’aimerais diluer un peu ma vodka.— Bien sûr, attendez, je vais vous servir. La dernière bouteille de jus en main, je me tourne vers lui, en bousculant un peu Sylvie. J’essaye au passage d’écarter mes cuisses pour lui faire profiter de la vue mais sa place ne lui offre pas un point de vue suffisant. Fanny par contre en profite pour plonger entre mes jambes une fois de plus. En me penchant pour atteindre son verre, j’agite ...