1. Cette chère belle-sœur


    Datte: 19/07/2021, Catégories: fh, ff, fbi, fplusag, fête, fsoumise, fdomine, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, ffontaine, fouetfesse,

    ... la bouteille car la pulpe s’est déposée au fond. Ma poitrine se secoue en tous sens sous l’impulsion et capture le regard de Thierry qui a un mal fou à lever les yeux de mon décolleté. Loin d’irriter Fanny, je la vois sourire du coin de l’œil. Décidément la sœur ne ressemble pas du tout à Hélène. Finalement Thierry parvient à s’extirper de la vue de mon corsage et me dit : — Merci Catherine— Avec plaisir. Je lui réponds avec un large sourire montrant à quel point j’ai aimé ce regard plongeant. Il me le rend en disant : — Fanny, tu n’en veux pas ? Autant profiter de la générosité de Catherine, si ce n’est pas abuser.— Fanny ? Avec plaisir, j’adore être généreuse et offrir ce que j’ai de mieux, dis-je en jouant sur les mots et comprenant le double sens de la phrase.— Merci, effectivement cela serait dommage de s’en priver, répond-elle en plongeant son regard une fois de plus sur mes seins,… ce jus d’orange est excellent.— Cent pour cent naturel, je vous le garantis, répondis-je en continuant dans le même esprit et en faisant mine le lire l’étiquette.— Vraiment ? Aussi parfait, on pourrait presque en douter, poursuit Fanny avec un large sourire et des yeux brillants derrière ses lunettes.— Je ne peux que confirmer ce que dit Cath, répond Sylvie qui vient de comprendre la tournure que prend la conversation. Elle les regarde un peu surprise tous les deux, découvrant visiblement une partie inconnue de leur vie. Tout cela m’a passablement excitée, je me sens l’entrejambes poisseux ...
    ... comme d’habitude dans ses cas-là. Je n’ai pas envie de laisser une trop grosse marque sur les coussins, sachant à quel point je peux mouiller. De plus d’avoir la chatte à l’air me déclenche souvent des envies naturelles plus fréquentes que de coutume aussi je demande : — Tu peux me dire où se trouvent les toilettes, s’il te plait ?— Tu reprends le couloir par où on est arrivées, et c’est une porte sur la droite, tu verras, répond Sylvie.— Je vais rapporter la bouteille de jus, tant que j’y suis.— Laisse, je vais le faire et ramener le plat aussi. Je quitte la balancelle, en laissant Sylvie récupérer plat et bouteille et en abandonnant le couple désormais si intéressant. Je tortille un peu du cul en partant histoire de conserver la chaleur à l’atmosphère qui règne désormais autour de la table. Je passe devant la cuisine où je surprends une conversation entre Hélène et Paul. — Je ne sais pas ce qui prend à ta sœur de nous amener cette pute sous mon toit.— Pourquoi tu dis ça ? Qu’est-ce que tu lui reproches ? Elle est sympa cette fille.— Toi bien sûr, du moment que tu peux mater une fille, elle est sympa.— Mais qu’est-ce que tu racontes…— Elle est habillée comme une pute, à son âge en plus. Je vois bien qu’elle aime ça, se faire mater le cul, cette salope, et sous mon toit qui plus est. Je sais pas ce qui me retient de la foutre dehors.— Mais enfin qu’est-ce qui te prend ? C’est l’été, c’est normal de s’habiller léger et puis c’est l’amie de Sylvie.— Mouais… ta sœur a bien changé ...
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