Une pipe fatale
Datte: 19/07/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... afflue dans ma verge qui grandit par secousses dans les deux mains d’Alice maintenant. - Tu vois, tu es muet ! Avoue que ça te plaît. Je sentais bien ton envie refoulée. - Mais non ! - Mais si. Regarde comme ta queue est belle. Elle palpite, elle exprime le contraire de ta langue. Ce serait dommage de rater cette aubaine. Surveille la route, je m’occupe du reste. Si tu veux tu pourras dormir chez moi ce soir. Je dors dans un lit double. On s’amusera un peu, on fera l’amour et tu te reposeras. - Ce n’est pas possible, j’ai un rendez-vous important à Châtelaillon ce soir. - Comme c’est regrettable. Dans ce cas, il n’y a pas de temps à perdre, lève un peu ton coude. Mon coude est poussé vers le haut, la tête de ma passagère passe dessous. Ma droite abandonne le cuir du volant : il est trop tard, mes doigts se crispent dans la chevelure installée entre mes jambes. Des lèvres chaudes et humides coiffent mon gland délesté de son prépuce. J’en suis affolé, traversé de frissons, paralysé. Dieu m’est témoin que je ne l’ai ni cherché ni demandé, ça m’arrive , ce n’est pas désagréable, c’est plutôt plaisant. Ça ne m’est jamais arrivé sans ma femme. Oui, mais, là, ça m’arrive. Et cette bouche s’ouvre, reçoit deux ou trois centimètres de mon nœud, bave une salive chaude sur le haut de mon gland puis progresse un peu. Mes nerfs se tendent, je gémis. La tête se relève une fraction de seconde: -Je savais bien que ça te plairait. Je te tiens, je ne te lâcherai plus. J’aime la saveur salée de ...
... ta queue. Oh ! Encore. Ses mains forment un étau autour de ma hampe, ses dents raclent mes chairs tendres. Je rattrape mon volant pour garder la droite. J’ai la sensation de pénétrer plus profondément dans la bouche, de frotter contre le palais, d’être caressé par la langue heurter l’intérieur des joues? C’est délicieux, je vais fondre dans ce four brûlant. La gourmande a un hoquet, remonte puis redescend aussitôt. - Houlala. Pas si fort., pas si vite. J’obtiens l’effet contraire. La tête monte et descend plus vite, plus profond, m’engloutit, me serre. Les frissons sont plus forts, mes paupières par moments se ferment. Alice tient le morceau, s’offre un festin de bite, ne contrôle pas ses élans. Elle accélère encore, colle sa luette sur le gland, remonte et replonge, pompe, pompe à allure folle. -Attention, je sens que je vais éjaculer L’avertissement l’excite au lieu de calmer son ardeur. Elle grogne. Elle suce, lèche, pompe. Plus elle sent venir l’éclatement, plus elle veut conclure. - Vas-y , crache, fais-toi du bien, donne-moi ton foutre. Déjà elle repart à l’assaut, avale tout mon sexe, le secoue, le tourne entre ses joues et presse mes bourses entre ses doigts . La chevelure reprend ses mouvements entre mon ventre et mon bras. - Oh, ça y est, je pars,je serre les dents. Ma verge est secouée par l’orgasme et les jets de sperme. Des phares m’éblouissent, l’orgasme explose, je donne un coup de volant, j’entends un « crac ». J’ai heurté quelque chose. Alice se redresse: - ...