1. Le prix de la liberté


    Datte: 21/07/2021, Catégories: fh, hagé, jeunes, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation nopéné, jeu, fouetfesse, confession, prememois, oncle,

    ... heures, et qui avait eu vent de ma venue. Autant mon oncle est grand, maigre et calme, autant son ami Michel est gros et remuant. Quand je les vois l’un à côté de l’autre, je les surnomme Laurel et Hardy, ce qui me fait sourire intérieurement ; mais au cours de la discussion qui suit, je comprends très vite qu’avec ce deuxième larron dont le regard pétille de malice, l’entreprise de conditionnement de l’oncle pourrait se révéler plus difficile. Ses premières remarques à propos des jeunes qui ont besoin d’une bonne poigne pour les contrôler mettent mes stratégies à mal. Par ailleurs, le regard de Michel est collant ; je sens à plusieurs reprises ses yeux sur ma poitrine alors que je suis habillée en petite fille modèle, car les vêtements que ma mère achetait n’avaient rien de sexy et mes formes étaient bien dissimulées par le tissu. Alors que je m’apprête à serrer la main de Michel, il me prend dans ses bras, me serre et ne me lâche qu’après m’avoir embrassée à quatre reprises, en prenant tout son temps. Dès qu’il me libère, je file immédiatement dans ma chambre pour échapper à sa présence. J’étais arrivée chez l’oncle plusieurs jours avant le début des cours afin de découvrir mon nouvel environnement et faire quelques courses ; en particulier, j’étais bien décidée à compléter ma garde-robe selon « MES » goûts ! Et pour cause : mes parents ne me permettaient jamais d’acheter des robes courtes et décolletées alors que j’ai des formes magnifiques. Les choses devaient changer ...
    ... ; les vêtements que je m’apprêtais à acheter seraient emblématiques de ma nouvelle liberté. Le lendemain de mon arrivée, je suis pressée d’aller faire mes achats, mes parents m’ayant laissé un petit budget pour compléter ma garde-robe. Bien entendu, j’ai tout prévu avant mon départ : j’ai emprunté en douce à une copine une petite robe légère que j’enfile ce jour-là, l’idée étant que mon oncle, pensant que cette robe faisait partie de ma garde-robe officielle, considérera que cet échantillon est représentatif de ce que mes parents jugent acceptable en matière de décence. Pas folle, la guêpe ! Quand l’oncle me voit partir pour les magasins dans une tenue si légère, j’ai l’impression qu’il s’apprête à me faire une remarque. Pour le court-circuiter, je l’embrasse vivement en me collant contre lui avant qu’il ne m’adresse la parole et lui dis que je serai de retour pour le repas, puis je m’enfuis sans demander mon reste. Je n’ai pas fait dix pas que je l’entends derrière moi : — Chloé ! Une petite seconde, s’il te plaît… Tu sais ce qu’on dit tes parents : des tenues décentes. Cette robe me paraît vraiment très courte et ne doit pas correspondre à ce que tes parents souhaitent te voir porter ; il faudrait que tu achètes des vêtements moins minimalistes. Comprends-tu ce que je veux dire ? Préparée à l’éventualité de ce petit recadrage, j’avais eu tout le temps de cogiter ma réponse : — Mais, mon oncle, j’ai choisi cette robe avec maman avant mon départ ; si elle l’avait jugée trop ...
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