Le prix de la liberté
Datte: 21/07/2021,
Catégories:
fh,
hagé,
jeunes,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
nopéné,
jeu,
fouetfesse,
confession,
prememois,
oncle,
... courte, elle ne l’aurait pas achetée, tu la connais. Quand maman parle d’indécence, elle parle de la façon dont certaines filles du lycée s’habillent, que je n’imiterai jamais. Le tout dit avec beaucoup d’innocence et un sourire immense. Ma réponse le laisse perplexe ; après tout, la notion de décence est une notion très relative. Mais il me faut maintenant porter l’estocade pour éviter que cette discussion ne s’enlise : — Ne t’inquiète pas : les vêtements que je vais acheter seront moins légers que celui-ci. L’automne arrive, je n’ai pas envie d’avoir froid. Sur ce, je lui claque une dernière bise et disparais à l’horizon. Bien entendu, j’achète deux robes aussi sexy que celle que je portais, ainsi qu’une tenue de mi-saison sur laquelle personne n’aurait trouvé à redire. En rentrant de mon shopping, j’étais bien décidée à filer directement dans ma chambre pour échapper à toute forme de discussion sur mes emplettes. Cela commence mal… Lorsque j’entre, Michel est assis dans un fauteuil, occupé à discuter avec mon oncle qui lui est assis sur le canapé. Quand il me voit arriver légère et court-vêtue, le regard de Michel s’allume et me déshabille. Il s’enfonce même discrètement dans le canapé pour améliorer son angle d’observation. J’envoie un bonjour à la cantonade et me lance dans l’escalier quand Michel m’interpelle : — Bonjour, Chloé. Tu ne m’embrasses pas ? Ses yeux avaient accompagné mon ascension dans l’escalier ; je les avais sentis collés à mes fesses, sous la petite ...
... robe courte et légère. Du moins j’en avais fortement l’intuition, car je ne porte jamais de caméra sous mes robes. Je suis arrêtée net dans mon élan et dois rebrousser chemin, à mon grand regret. La manœuvre a échoué, il va falloir jouer plus serré. Le petit gros ne bouge pas ; il attend ses bises au fond de son fauteuil. Je dois me pencher en avant pour l’embrasser. Avec la robe que je porte, cela signifie présenter ma poitrine à Michel et mes fesses à mon oncle ; dire que je ne peux le faire, c’est reconnaître que ma robe est vraiment trop courte, alors je plonge en avant pour la bise. Je sens le regard de Michel se poser sur ma poitrine, et je ne sais ce que regarde mon oncle pendant ce temps-là puisque je lui tourne le dos ; mais s’il regarde dans ma direction, il doit pouvoir compter les mailles du fond de ma culotte. À nouveau, il me serre dans ses bras et m’embrasse lentement pour faire durer son étreinte, puis je me redresse et file dans l’escalier quand Michel m’interpelle à nouveau : — Chloé, tu devrais nous montrer tes achats. As-tu acheté de jolies choses ?— Oh, ce sont des trucs de filles, cela n’a aucun intérêt.— Mais non, bien au contraire : si tu nous les montre, tu auras des avis masculins. Je n’avais vraiment pas envie de leur montrer les deux petites robes ; je sors donc l’ensemble de demi-saison en disant : — Ce sont des vêtements comme celui-ci. Vous voyez bien, c’est sans intérêt.— Mais si, c’est très joli, dis donc… J’aime beaucoup. Montre-nous le reste. ...