1. Le prix de la liberté


    Datte: 21/07/2021, Catégories: fh, hagé, jeunes, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation nopéné, jeu, fouetfesse, confession, prememois, oncle,

    ... Je sors les deux robes une à une, les expose à son regard. — Hé bé ! Tu n’as pas peur d’avoir froid avec ces petits bouts de tissus légers ? me demande Michel. Mon oncle, qui était resté muet jusqu’à ce moment, ajoute : — Michel a raison : c’est vraiment court et léger pour l’automne.— Je me suis toujours habillée ainsi. Quand il fait un peu frisquet, je mets un imper léger par-dessus, et je n’ai jamais froid. Et je reprends presto le chemin de l’escalier. — En tout cas, reprend Michel, tu ne risques pas de marcher sur ta robe ! J’imagine à nouveau son regard sous la petite robe très courte accompagner mes fesses jusqu’en haut des escaliers. En entrant dans ma chambre, je fais semblant de fermer la porte mais la laisse entrebâillée pour écouter les éventuels commentaires, ce qui ne manque pas d’arriver. Bien entendu, c’est Michel qui prend la parole : — Dis donc, les parents de Chloé sont très permissifs. Moi, j’aurais une fille, je ne la laisserais pas s’habiller si court. Ce à quoi l’oncle réplique : — Moi aussi je les trouve courtes, ces robes, mais celle qu’elle porte a été achetée avec sa mère, et c’est à elle de fixer les limites de la décence pour sa fille. Tu sais, avec l’âge, on a du mal à suivre ; si toutes les filles de son âge s’habillent court, elle ne va pas s’habiller comme une nonne : elle a aussi droit de plaire aux garçons.— C’est sûr qu’avec des robes comme celles-là, elle va faire des ravages : il faudrait vraiment qu’ils soient difficiles pour ne pas ...
    ... apprécier ! Michel reste silencieux quelques secondes, puis ajoute à voix basse : — Au fait, comment es-tu si certain que cette robe a été achetée avec sa mère ? Chloé est une chic fille, mais ne la prends pas pour une nunuche. Elles sont rusées, les filles : tu devrais te méfier… J’avais bien jugé Michel : il était en position de nuire à mes désirs d’émancipation. Heureusement, mon oncle met un terme à la conversation en disant que je suis sa nièce, que je suis une fille honnête et que j’ai sa confiance. Les dernières paroles de Michel résonnent encore dans ma tête : « Elles sont rusées, les filles : tu devrais te méfier… » Je suis à peu près certaine que mon oncle doit entendre le même écho que moi, même si, comme il l’a dit, il me fait confiance. Je viens de gagner la première partie de mon combat pour ma liberté, mais je sens bien que Laurel et Hardy ne sont pas dupes de mes agissements : il va me falloir être plus fine mouche et réviser ma stratégie, car j’avais prévu de mettre mon oncle dans ma poche ; mais le hic, c’est que Michel est souvent présent à la maison : je vais devoir le neutraliser également, mais comment ? Ce qui est sûr, c’est que je ne dois surtout pas m’en faire un ennemi, aussi répugnant qu’il me paraisse. Le soir même, mon oncle invite Michel à dîner, ou peut-être celui-ci s’est-il invité car il semble avoir une grande influence sur mon oncle. Je propose de cuisiner pour me concilier les bonnes grâces du duo de choc. Nous dînons dans la cuisine, sur une ...
«1...345...14»